Le vrai courage est de suivre sa voie personnelle. Bannir les limites des rituels sociaux-culturels de nos familles, clans et nations. Bannir les limites de penser autorisées par les dogmes religieux et politiques des gens forts qui nous entourent.
A savoir la masse formée par les autres qui nous mettent la pression, via des traditions qu'ils projettent sur nous (les rôles de l'homme et de la femme changeant énormément d'une culture à l'autre en sont un bon exemple) nous pressurisent Elle relègue notre intérêt propre, bien en-dessous de celui du groupe.
A savoir la masse formée par les autres qui nous mettent la pression, via des traditions qu'ils projettent sur nous (les rôles de l'homme et de la femme changeant énormément d'une culture à l'autre en sont un bon exemple) nous pressurisent Elle relègue notre intérêt propre, bien en-dessous de celui du groupe.
Parfois il est bon que le groupe impose des minimas comportementaux, édicte une loi intérieure, pour le bien du groupe. Mais comme le disait si justement Maître Bouddha, respecter la Tradition parce que c'est la Tradition, par peur, par lâcheté, n'est pas bon, ni évolutif.
Lorsque nous voyons que la Tradition n'est pas juste, et que notre âme nous indique une autre voie, plus juste, alors la suivre est une bonne chose. Dépasser les limites, ouvre de nouvelle voie dans ce vide encore inexploré que nous découvrons en tant qu'éclaireur. Et quelle est la nature du Milieu? Le Vide, et dans le Vide il y a Dieu !
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