mercredi 26 septembre 2012

Sagesse du Milieu: Les traumatismes transgénérationnels (2ème partie)


Introduction


Dans le premier article nous avons posé les bases de la compréhension des traumatismes transgénérationnels. Nous allons à présent tenter de cerner les éventuelles problématiques et donner les outils qui permettront leur résolution.



Définir les schémas familiaux


Comme nous l’avons vu, des schémas spécifiques sont mis en œuvre par les membres de votre clan familial. Il s’agit là d’éviter autant que possible de réfléchir qu’au travers de l’émotionnel dans des sentiments tels que le ressentiment, la douleur, le regret ou le manque par exemple. Je vous suggère de le faire calmement parce que vous en avez l’envie et la force. D’autres part dites-vous bien qu’il ne s’agit en aucune manière de faire le procès de votre famille mais de la comprendre pour mieux se libérer de ses limitations propres.



Observer avec détachement


Pour parvenir à déterminer les schémas au travers desquels évolue votre famille je vous suggère de vous placer en observateur afin de sortir de la position d’acteur.
Allez dans un endroit calme où vous vous sentez bien. Détendez-vous en adoptant une posture confortable.
Essayez ensuite de définir tous les comportements propres à votre famille : les traditions et coutumes que vous reproduisez d’année en année, les rituels précis qui font de votre famille ce qu’elle est. Cherchez à mettre en lumière toutes les habitudes éducatives acquises en termes de façon d’agir et de parler.
Puis sur une feuille essayez de rédiger le dictionnaire familial. C’est-à-dire écrivez la définition d’un maximum d’éléments en respectant la loi familiale. Je vous suggère de débuter par la définition de la femme et de l’homme (définition des rôles respectifs) puis d’écrire un maximum de lignes sur tout ce que votre éducation a défini comme la vérité.
Enfin essayez de voir votre famille comme les acteurs d’un film que vous auriez regardé. Donnez une définition du rôle de chacun d’une manière caricaturale : par exemple le patriarche, le mouton noir, la mère poule, l’éternel rebelle, bref trouvez par vous-même des descriptions de rôles qui, si elles étaient révélées à un inconnu, lui permettrait de comprendre sans délai le fonctionnement de votre famille.



S’observer dans la spontanéité


Dans votre vie quotidienne une excellente méthode est de vous observer parler et agir en « automate-perroquet ». C’est-à-dire que vous cherchez à mettre en évidence tout ce qui dans vos journées est reproduit par vous-même sur « pilote automatique ». Notez tout ce qui constitue un acte ou une parole issue en ligne directe de votre éducation sans aucune modification de votre part, de manière totalement automatique, c’est-à-dire sans que cela passe par la réflexion.



Séparer ce qui est juste du faux


A ce point, essayez de synthétiser toutes vos données en les séparant en justes et fausses. J’entends par là que vous les classifiez en fonction de l’effet qu’elles ont eu sur vous : triez entre ce qui vous a fait du bien, qui a fait grandir et ce qui vous a fait du mal, qui vous a inhibé.
Je vous suggère d’oser vous valoriser en faisant ce travail. N’essayez pas de faire plaisir à qui que ce soit, faites-le pour vous.



Réécrire le dictionnaire familial


Reprenez votre dictionnaire familial et affinez les définitions des choses et des personnes selon ce qui est juste pour vous. Réécrivez votre loi familiale en tenant compte de créer un monde dans lequel vous pouvez vous épanouir. Je vous conseille de chercher à définir sans nuire ni à vous, ni aux autres. Car si vous voulez vous libérer osez ne pas brider en remplaçant des lois contraignantes par d’autres susceptibles de le devenir.
Osez être bon, juste et vrai sans oublier d’être raisonnablement ambitieux en termes de bonheur et de réussite. Osez redéfinir afin de vous donner les moyens de mettre en œuvre de belles choses car vous vous y autorisez !



Conclusion


De nos familles nous avons reçu du bonheur et de l’amour. Cependant étant donné que nos familles sont composées d’individus imparfaits, nous avons égalé hérité des traumatismes des générations dont nous sommes issus.
En travaillant avec son cœur, sa tête et son corps nous avons tous la possibilité d’arrêter de souffrir d’un problème transgénérationnel…en trouvant la solution. Pour arriver à le faire vous devez aller reprogrammer votre cerveau.
Chacun peut le faire à condition de commencer par redéfinir votre philosophie de vie. Il ne s’agit pas simplement de reprogrammer comme une fin en soi ; mais au contraire de le faire parce qu’au plus profond de vous vous êtes convaincu de la nécessité de procéder à ce changement.
Cela nécessite une profonde valorisation intérieure de ce que vous êtes et une autorisation de le montrer au monde. Ce processus remet positivement en question toutes les limites personnelles imposées par l’éducation et la société en les remplaçant par des limites acceptées et vécues dans la plénitude.



                                                                                     Jean-Christian Balmat


Depuis 1991, l’école de la Sagesse du Milieu vous propose :
·        Formation Modulaire
·        Cours de Gymnastique Énergétique
·        Cours de Méditation Évolutive
·        Séminaire Bien-Être
·        Cours d’Introduction
·        Conférences Gratuites
·        Cours de Géobiologie



mercredi 19 septembre 2012

Sagesse du Milieu: Les traumatismes transgénérationnels (1ère partie)

Introduction


On dit souvent que les êtres humains naissent et demeurent libres et égaux en droits[1]. Cependant le fait d’appartenir et d’être éduqué au sein d’une famille influence chaque individu d’un point de vue psycho-affectif et comportemental.
Chaque personne peut être considérée comme l’arbre généalogique de sa famille mis en action dans le présent. Cet article a pour but de mettre en lumière les tenants et les aboutissants de ce sujet passionnant.



La double loi familiale


Chaque famille se différencie légèrement des autres par ses comportements, ses habitudes, ses rituels et ses traditions. Lorsqu’un enfant grandit en son sein, ses ascendants lui donnent une éducation qui le guide dans les méandres des difficultés de la vie au travers des « outils familiaux ».
Cependant ce que l’on oublie souvent c’est que la transmission filiale éducative ne passe pas uniquement pas le dit, l’écrit et l’acte mais également par le non-dit, l’implicite et le mouvement non-exprimé (qui est donc par définition un acte interdit par la loi familiale).
Comme nous l’avons vu dans les articles précédents, le respect de la loi familiale est la condition sine qua non qui permet aux membres de la famille, et tout particulièrement aux enfants, d’être nourri par celle-ci. C’est-à-dire que le comportement familial autorisé devient la norme et que l’enfreindre équivaut pour celui qu’il le fait à accepter le rejet plus ou moins fort du clan.
Symboliquement l’enfant est la branche terminale de l’arbre généalogique et la loi familiale est la sève qui nourrit l’arbre.
La loi familiale agit sur tous ses membres tant consciemment qu’inconsciemment. Ce qui pour son membre créé un espace de vie parfaitement délimité à l’intérieur duquel la vie est possible. Ce qui par voie de conséquence définit de manière inconsciente un espace hors de ses limites qui représentent la mort.
Donc sans travail personnel, prise de conscience des limites de la loi familiale, chaque personne est susceptible de le reproduire dans le présent même si la loi est mauvaise. J’en veux pour exemples des sujets douloureux comme la violence conjugale, la violence sur enfants ou la toxicomanie qui sont parfois des reproductions présentes de vieux fantômes transgénérationnels familiaux.
En termes clairs, la personne adulte qui n’a résolu le complexe d’Œdipe est susceptible de s’enfermer dans un comportement inconscient visant à respecter la loi sans aucune modification, même et surtout à l’âge adulte. Dans ce cas de figure la transgression de la loi s’accompagne de lapsus verbaux et gestuels mais également de pathologies.



Le dictionnaire familial


Le dictionnaire familial est l’ensemble des définitions de l’ensemble des composantes du Monde enseignées durant l’éducation et mises en œuvre dans la vie familiale quotidienne.
Ces définitions sont plus spécifiques que celles employées par la nation. Elles induisent une perception précise du Monde et donc du type de relation que les membres du clan établissent entre eux et le monde extérieur.
La loyauté à la famille est pratiquement totale et permanente pour un être humain qui ne connait que celle-ci. Du moment que la personne est exposée à la société, il prend conscience que les autres fonctionnent un peu différemment que lui.



Famille=amour=loyauté


Chaque être humain a besoin d’amour pour exister. Il a besoin d’être reconnu et la première des reconnaissances est celle que l’on obtient de sa famille proche. Pour s’en convaincre il n’y a qu’à observer combien d’adultes souffrent d’angoisses présentes parce qu’ils n’ont pas perçu de l’amour et de la reconnaissance de leur famille dans le passé.
Il est naturel et légitime d’éprouver ce besoin. Cependant il est essentiel de comprendre que tant que la personne maintient avec sa famille une relation de dépendance affective, il éprouve constamment une angoisse du manque.
Cette attitude de dépendance affective explique pourquoi contre toute logique rationnelle, l’enfant est susceptible de soutenir le parent face au monde extérieur même si ce dernier est violent ; l’épouse ne dénonce pas le mari…ou en résumé que la transgression de la loi soit tut ce afin de maintenir la structure familiale en place. Voilà l’explication à tous nos secrets de famille : quelle que soit la violation de la loi familiale, les membres du clan tentent, avec leurs propres outils, de maintenir la cohésion plus que tout.
Tant que les relations familiales sont saines, la loyauté des enfants envers leurs parents est légitime et saine : elle entretient les liens familiaux et permet l’épanouissement de la personnalité de chacun des membres. Mais comme nous venons de le voir lorsque les relations sont toxiques cette loyauté devient destructive : elle péjore les liens familiaux et détruit plus ou moins la personnalité de chacun des membres.



Fantôme transgénérationnel


Lorsqu’une personne désire fortement exécuter un acte précis mais ne peut le faire en pleine lumière par peur des conséquences, elle vie un refoulement[2] plus ou moins important. Nous parlons de tous les actes et comportements interdits par la loi familiale qui briment plus ou moins certaines pulsions. C’est également tous les secrets, les non-dits, les actes inavouables et les traumatismes.
Cela crée tout une série de comportements déséquilibrés et pervers qui déstabilisent les relations familiales, et plus grave, qui se transmettent de manière transgénérationnelle. On appelle parfois cela un « fantôme transgénérationnel » qui peut induire le mutisme de l'adulte, l'autisme de l'enfant ou la phobie voir même interdit l'accès à la résolution de l’œdipe aux descendants de la famille.



La frustration de mon ancêtre est ma névrose


Tout ce qui est transmis par l’éducation définit le monde aux enfants. L’enfreindre est sacrilège et expose aux sanctions du clan familial.
Tout ce qui est tût, caché et honteux devient un tabou pour les descendants par défaut.
A chacun sa famille, à chacun ses tabous, ses secrets de famille. Il n’y a personne qui soit épargné à ce niveau. Ceux-ci sont susceptibles de détruire les enfants d’une famille tant que ceux-ci vivent dans la reproduction aveugle des schémas familiaux.


Justice ou mauvaise foi


Le système familial est en équilibre tant que la justice et l’équité régissent les rapports humains entre les membres du clan.
Par contre lorsque la justice disparait, la mauvaise foi la remplace amenant des sentiments d’injustice, de ressentiment, de compétitivité, de manque d’amour voir de haine.
Cela créé entre les membres des dettes émotionnelles qui s’amoncellent et créant une culpabilité sous-jacente qui détruit l’équilibre familiale. Dans ce genre de déséquilibres naissent les rancœurs et les colères qui ruinent les liens familiaux. Ces dettes sont, d’une manière imagée, inscrites sur le grand livre des comptes familiaux qui met en balance les mérites et les démérites. En vertu de la loyauté familiale, des problèmes, conséquences directes des dettes familiales, peuvent subvenir de génération en génération tels que des accidents, des maladies précises, des haines héréditaires.



L’arbre généalogique est vivant en nous


Nos ancêtres nous transmettent non seulement leur ADN qui spécifie l’édification de notre corps mais également toute une série de comportements sociaux spécifiques qui orientent nos actes et nos paroles.
Si l’on veut changer le cycle des répétitions, il convient d’utiliser le langage de l'inconscient, c’est-à-dire celui des symboles, car la prise de conscience et la verbalisation sont insuffisantes à la guérison.



Se libérer des carcans familiaux


Pour qu’une personne se libère des carcans familiaux, il est important de déterminer clairement leur fonctionnent. En effet, la personne qui souffre du fonctionnement de sa famille le fuit pour éviter la douleur…sans chercher à le définir avec précision.
Hors ce n’est pas en fuyant ou en déniant le problème que l’on peut s’en sortir ! C’est en osant prendre du détachement afin de regarder objectivement le comportement familial. Mon expérience de thérapeute me démontre chaque jour que l’on ne peut pas se contenter de rejeter les schémas éducatifs sans plus.
Car la psyché humaine n’aime pas le vide. Si l’on rejette des schémas sans autre forme de travail, les schémas éducatifs reviennent à la charge au moindre stress. Par contre si l’on prend soin de les remplacer par des meilleurs en ayant pleinement conscience de le faire, on peut se libérer par paliers des schémas éducatifs



                                                                                     Jean-Christian Balmat


Depuis 1991, l’école de la Sagesse du Milieu vous propose :
·        Formation Modulaire
·        Cours de Gymnastique Énergétique
·        Cours de Méditation Évolutive
·        Séminaire Bien-Être
·        Cours d’Introduction
·        Conférences Gratuites
·        Cours de Géobiologie



Prochain article : comment se sortir des traumatismes transgénérationnels.



[1] La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 (DDHC), le texte fondamental de la Révolution française.
[2] Voir les articles précédents à ce sujet.

vendredi 7 septembre 2012

Sagesse du Milieu: Quelle est la vraie nature de l'Être Humain?


Du microcosme au macrocosme, il existe un Esprit commun à Tout. Une trame spirituelle, un Esprit architecte qui structure son opposé, la matière.
Tout comme d'une manière symbolique nous pourrions dire que dans l'Univers, l'Esprit adombre la matière; le microcosme humain se développe à l'image de ce dont il provient : en lui l'esprit domine et dirige la matière.
Je suis ce que je suis et non ce que j'apparais être, donc nous pouvons dire :
·         Je ne suis pas mon corps de chair, lequel se transforme constamment, se dégrade dans le temps malgré la régénération cellulaire et à long terme retourne à ce dont il provient. Car je tire ce corps-là du corps de ma mère la Terre. Identique à sa source, il me permet d'agir dans le plan de conscience correspondant à la matière. Ce corps naît et par conséquent, engendre sa propre mort par la loi des cycles présents dans l’univers. Il en va ainsi pour tout ce qui vit dans le plan physique, en passant par nos fonctions organiques actives au travers de cycles physiologiques tout autant que les civilisations qui naissent, atteignent leur paroxysme puis meurent.
·         Je ne suis pas mon énergie vitale[1] car elle se manifeste au travers de forces magnétiques polarisées (attractives ou répulsives) temporaires. L'action de ce corps éthérique est cyclique et n'arrive pas à vitaliser mon corps de chair en permanence ; ce qui me condamne à obligatoirement revitaliser mon corps de chair pendant une période d'inactivité, le sommeil. Comme de corps de chair, mon corps éthérique a une action cyclique et cela durant une période définie.
·         Je ne suis pas mes émotions, lesquelles changent, se transforment, disparaissent, réapparaissent. A l’image de l'océan déchaîné par la tempête, mes passions inférieures[2] me déstabilisent dans une première étape instable de mon évolution, sujet aux changements incessants de la perception émotionnelle. Ballotté entre des états émotionnels intérieurs changeant et mes rapports avec les autres qui interagissent sur moi ; je suis plus victime que vainqueur, tant que la tempête régnera...Mes émotions font que j’aime ou je déteste, que je m’approche ou qu’au contraire, je m’éloigne. Si je ne m’en détache pas au cours d’un travail conscient, elles peuvent me noyer sous le déferlement de leurs flots incontrôlés. Cependant je peux apprendre à maîtriser ses émotions regroupées dans mon corps astral.
·         Je ne suis pas mes idées, qui sont aussi changeantes que mes émotions. Mes idées sont vivantes dans le plan de conscience mental. Ce plan est polarisé ce qui se traduit par mes idées positives et par leur contraire, mes pensées négatives.

Lorsque je mourrai, je perdrai de par ce changement d'état, ces quatre corps qui me servaient à vivre dans quatre plans de conscience  dont ils tiraient leurs composants.
Souvenez-vous, il y a un esprit au-dessus de la matière. Ou plus exactement la matière est l'autre facette de l'esprit. Comme disait Hermès : « ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et inversement ». Au niveau de la Vie créée (les quatre plans de conscience inférieurs instables et impermanents), la matière est le reflet du Principe de Vie incréée (trois plans de conscience supérieurs, stables et permanents), l'Esprit.
Et l'Esprit provient du Penseur qui pense constamment ce qu'il devient. Nos pensées ont une qualité propre qui, « en descendant » au niveau du plan astral, génère une émotion qui sera elle-même polarisée dans même qualité que la pensée. C’est-à-dire, pour faire simple, qu’une pensée positive engendre une émotion positive et l’inverse. Ces deux plans agissant dans le même sens sur les plans éthériques et physiques.
Souvenez-vous de Dieu disant à Moïse : « Je suis ce que Je suis ».
Le Créateur est Pure Esprit qui se projette dans la Matière qu’il féconde par sa volonté d’Être. Trois formes d’une seule et même chose.
Cette Trinité surplombant ce Quaternaire est l'ensemble (le Père-le Fils-le Saint Esprit des Chrétiens ou Trimūrti pour les Hindous, les trois formes, Brahmâ-Vishnou-Shiva, que prend la Divinité pour présider aux différents états de l’Univers entre autres exemples) des puissances créatrices (Elohim dans le Judaïsme) pour le macrocosme.
A notre niveau microcosmique, la Trinité de nos trois corps, causal, spirituel et divin, surplombe les quatre inférieurs.
Le Trois, Créateur, surplombe le Quatre, Création.
Ce qui est créé en moi mourra et cela n'est que la juste expression de la loi de rétribution, qui engendre tous les cycles de vie. Au-dessus de la création quaternaire, il y a mon âme : parcelle de Dieu en moi, dont le développement est laissé à mon libre-arbitre. Lorsque je serai capable de me vivre en elle, je serai à ce moment enfin, ce que je suis vraiment : un pur esprit immortel. A ce moment, percevant ma nature divine je pourrai librement participer au plan du penseur.
Durant le jour divin, si tout se passe bien, je prends conscience de ma nature spirituelle. A cette condition j'expérimenterai la joie de servir le plan; d'être ce que je suis, un créateur. Un jour divin, ou Manvantara, est, dans la mythologie hindoue, une ère cosmologique entre deux nuits divines. Une nuit divine est appelé Pralaya.
La nuit divine venu, je ne disparaîtrai pas car je serai devenu UN avec Dieu.
D'ici je gravirai une à une toutes les étapes de l'évolution humaine couronnée par les sept initiations.



                                                                                     Jean-Christian Balmat


Depuis 1991, l’école de la Sagesse du Milieu vous propose :
·        Formation Modulaire
·        Cours de Gymnastique Énergétique
·        Cours de Méditation Évolutive
·        Séminaire Bien-Être
·        Cours d’Introduction
·        Conférences Gratuites
·        Cours de Géobiologie




[1] Ici je parle du Ki japonais, ou Chi chinois ou encore le Prana indien.
[2]   Inférieures de parce que dictées par mes envies, besoins, manques de ma chair en opposition à l'inspiration spirituelle