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lundi 5 mars 2018

Sagesse du Milieu: Matérialiser ses rêves, ses projets[1]


Il est important de rêver, car les rêves sont la conséquence du désir et le désir est le principal moteur dans l'avancée de l'Humain. Au cours de son travail personnel, l’être humain passe du désir d’éléments très matériels au désir d’ordre de plus en plus spirituel.

Comme nous l’avons vu, l’Humain évolue en maîtrisant les plans physique puis énergétique puis en travaillant il acquiert la maîtrise de ses émotions puis de ses pensées.

Lorsqu’il parvient à conscientiser le plan causal ou le monde des archétypes, le chercheur découvre peu à peu son Dharma (voir ci-après « chacun son Dharma). C’est-à-dire le chemin de vie propre à chaque être humain ayant vaincu le monde des illusions.

Lorsque l’Humain commence à maîtriser le plan causal, il prend conscience pleinement de ce qu’il sème et prévoit mieux sa récolte. En ajoutant la nouvelle maîtrise qu’il a sur ses pensées et ses émotions, il développe graduellement un pouvoir grandissant sur les plans inférieurs. En d’autres termes, il devient tout simplement plus efficace dans tous les projets dans lesquels il met son énergie.
Comme la plupart des hommes savent reconnaître une musique qui « sonne » juste, l'Humain sait déterminer, s'il décide de le faire, quelle est sa voie personnelle.

Peut-être n'est-il pas prêt à déjà laisser sur le bas-côté sa nature inférieure et ses désirs charnels ? Eh bien soit, qui peut l'en blâmer ? Qu'il nourrisse ce type de désir tant qu'il en ressentira le besoin. Mais, s'il en sent la force et surtout le désir, qu'il avance en laissant derrière lui les leurres du monde de l'illusion au profit du monde spirituel.

Et là, rien n'est trop beau, rien n'est assez élevé pour celui qui désire de tout son cœur atteindre un but.

Suite à ces recherches sur le cerveau, j’ai entamé un long travail intérieur sur mes comportements sociaux, sur les rôles que je prends dans la société et leurs racines plongées dans mon éducation et dans ma génétique. Ce travail m’a permis de voir à quel point j’étais prisonnier des schémas de ma famille et de ma culture. Depuis, j’essaie d’évoluer afin d’un jour parvenir à la stricte neutralité comportementale.

La notion de cerveau triunique m’a permis de voir mes congénères et moi-même différemment. En comprenant le rôle exact de l’instinct chez l’humain, à savoir combler tous les besoins vitaux, j’ai mieux compris la corrélation que l’on peut remarquer entre le niveau de vie de mes congénères et leur comportement, ce qui m’a permis de mieux m’observer avec détachement. J’ai pris l’habitude durant chacune de mes méditations de consacrer quelques instants à déterminer comment j’utilisais mes différents cerveaux : lorsque je me surprenais à sur-réagir intérieurement à un acte ou une parole, je parviens maintenant à réfléchir… oh je suis très loin d’être parfait, mais j’évite au moins de réagir sans réfléchir.

Mes lectures sur la psyché humaine m’ont quant à elles apporté la capacité de poser des mots sur les composantes de l’esprit humain dont je commence à appréhender la structure et le fonctionnement.
La compréhension des phénomènes amenant soit la récompense, soit la punition m’a permis de comprendre la racine du mouvement de l’Humain dans son environnement : le besoin impérieux de satisfaire ses pulsions intérieures. J’essaie depuis de me mettre à l’écoute de mes besoins intérieurs afin d’y répondre logiquement.

Mais ce qui m’a certainement le plus parlé dans ce que j’ai évoqué a été l’étude des deux points de vue opposés que sont le rationnel et l’émotionnel. Jusque-là, me considérant comme un émotionnel excessif, j’ai brimé celui-ci au profit de mon côté rationnel, plus « socialement correct ». Mais lors de mon travail de recherche, je me suis aperçu que cette brimade se réalisait à mes propres dépends en déniant cinquante pour cent de ma pensée. J’essaie depuis de mettre en parallèle mes deux cerveaux et je constate qu’également valorisés, ils s’auto-régulent l’un et l’autre.

Ce travail ardu m’a permis de sortir de l’ombre des composantes de ma personnalité que j’avais soit occultées, soit niées. J’ai simplement admis un jour que je vivais comme tout le monde une dualité émotionnelle. Pour parvenir au face-à-face de mon ange et de mon démon, j’ai dû m’armer d’honnêteté et d’humilité, car Dieu sait que je n’ai pas découvert que des perles. Par contre, parvenir à force de travail à la maîtrise de mes émotions a été comme une deuxième naissance à l’âge adulte : alors qu’avant cette recherche, je me sentais souvent victime de mes émotions passionnelles, je suis parvenu à pacifier puis à améliorer mes relations intérieures et sociales.


                                                                                     Jean-Christian Balmat



jeudi 1 mars 2018

Sagesse du Milieu: « Les trois Cortex cérébraux » - les cerveaux reptilien, mammalien et néocortex

Trois cortex[1]
Le cerveau, en plus des deux hémisphères, se décompose en trois cortex. Ce découpage s’explique par la lente évolution de l’humain. En 10'000'000 d’années et 500'000 générations successives, nous sommes descendus de l’arbre pour monter dans la voiture. Nous sommes passés d’un comportement instinctif de mammifère supérieur à celui de l’humain qui sait qu’il pense (Homo sapiens sapiens). Ces trois cerveaux du plus ancien au plus récent sont :

  1. Le paléocortex, ou cerveau reptilien, s’occupe de la survie et des fonctions vitales de base (manger, rester vivant puis se reproduire), dans le présent. Cerveau très rationnel et froid, voire cruel au besoin, car dépositaire de l'instinct de conservation. Sa première fonction est d'assurer l'homéostasie. Il assure la régulation de notre respiration, de notre rythme cardiaque, de notre tension artérielle, de notre température, de nos échanges hydriques, gazeux et ioniques. Il assure la satisfaction de nos besoins primaires ou besoins vitaux tels que l'alimentation, le sommeil, la reproduction. Il fonctionne souvent de manière automatique sans que la réflexion consciente intervienne. Sa mémoire dure au maximum 48 à 72 h. Ensuite, tout ce qui n’est pas considéré comme utile est « jeté ». N.B. : la notion de l’observateur qui regarde la pièce jouée par l’acteur est primordiale et permet de « sortir » de comportements adoptés sous couvert de l’automatisme.
  2. Le cerveau mammalien ou limbique : évite ce qui dans le passé a fait mal et reproduit ce qui fait du bien (aspect associatif de la pensée, ce qui fait que l’expérience dans la matière a tendance à emprisonner dans des réflexes de Pavlov). Dominé par les émotions, les rituels comportementaux, les convictions, les croyances, les conditionnements provenant de son passé ainsi que de sa famille, ethnie et nation et responsable donc des choix conditionnés, sa liberté est très limitée. Il permet les émotions et déclenche les réactions d'alarmes du stress. Il garde en mémoire, donc acquiert une expérience transmissible à l’enfant : nous possédons l’expérience de 500'000 générations ! C’est pourquoi effectuer un travail intérieur à ce niveau est si dur : la tradition que l’on nous transmet est aussi l’outil de communication que nous employons quotidiennement. Ce qui explique la montagne d’obstacles qu’il nous faut abattre afin de nous libérer de nos schémas emprisonnant.
  3. Le néocortex, ou cerveau intellectuel : conceptualise, arrange les actions du reptilien et relie le passé au présent afin de se projeter dans l’avenir. Aspect cognitif de la pensée, il permet notamment le raisonnement logique, le langage et l'anticipation des actes.


                                                                                     Jean-Christian Balmat


jeudi 8 février 2018

Sagesse du Milieu: Pieds nus sur la Terre et la tête dans le Ciel


 L’Être Humain est le trait d’union entre la Terre et le Ciel.

Telle est la perception de la place de l’Homme dans l’Univers selon la philosophie orientale : un médiateur entre deux mondes.

Les différentes spiritualités orientales ont donné naissance aux médecines traditionnelles tibétaines, indiennes, chinoises et japonaises. Ces médecines sont par essence préventives, c’est-à-dire qu’elles poursuivent l’objectif de maintenir l’équilibre entre deux énergies bipolaires qui sont les deux aspects d’une même énergie de base :
·       L’énergie Yang du Ciel
·       L’énergie Yin de la Terre

Cela peut sembler évident pour certains, cependant il est important de préciser que cet équilibre Yin-Yang ne peut être obtenu que par un Centre fort, de nature neutre énergétiquement, afin de maintenir les deux extrêmes dans des valeurs permettant la Vie dans les meilleures conditions.


Pieds nus sur la Terre


L’être humain reçoit de la Terre son Corps[i] Physique. Ce corps dans lequel il s’incarne est de nature Yin (polarité négative, aspect féminin).

Ce corps physique est ancré dans le concret et est limité par les limites de ce plan de conscience.


Concrétiser ce qui a été pensé


Le corps physique réalise concrètement l’idée maturée dans le corps mental. Il vit dans un cadre posé par la Loi Intérieure (voir ci-dessous).

La réalisation de ce qui a été pensé est l’objectif même du monde concret.

L’Être Humain qui réalise ce dont il a rêvé, est pleinement comblé et grandit à chacune de ses victoires !


La difficulté de passer de la théorie à la pratique


L’incarnation ne serait en aucune manière un défi si pour chaque être humain la réalisation de ce qui a été pensé, rêvé était simple et coulait d’évidence.

Autant il est vrai que l’être humain grandit à chacune de ses victoires (la réalisation concrète de ce qui a été rêvé), autant il perd confiance, s’intériorise et a tendance à devenir négatif lorsqu’il échoue.

Le moyen que la théorie du monde abstrait de la pensée et que la pratique du monde concret se rejoignent tient en un mot : Communication (voir ci-dessous « Le médiateur : le Cœur de l’Être Humain »).


Lorsque le rêve se transforme en cauchemar


Lorsqu’il échoue, l’être humain passe intérieurement du rêve au cauchemar. Et si cela n’avait aucun effet sur le corps physique, ce ne serait pas grave, mais nous verrons plus loin (voir « Le médiateur : le Cœur de l’Être Humain »), le fait d’échouer à un effet très négatif sur le système neuroendocrinien, donc sur la sécrétion d’hormones. En l’occurrence, la modification des sécrétions hormonales influera négativement sur le fonctionnement du corps physique.



La tête dans le Ciel


L’être humain reçoit du Ciel son Corps Mental. Ce corps mental est de nature Yang (polarité positive, aspect masculin).

Le corps mental est ancré dans l’abstrait et établi une loi qui servira de cadre de vie au corps physique.
Le mental peut être un suiveur, respecter la tradition et l’éducation reçus. Ce comportement vise à obtenir une récompense extérieure d’un congénère ou d’un groupe de congénères.

Ou alors le mental peut être un aventurier qui continue à découvrir différentes façons de faire, allant au-delà de ce qu’on lui a enseigné et transmis. À ce moment, la récompense est intérieure (sécrétion des hormones de plaisir lorsque l’être humain est satisfait, comblé) ! Dans ce dernier cas, l’Homme n’est plus affectivement dépendant de l’autre (dépendance qui génère les relations toxiques) mais libre, car capable de s’autoévaluer !

Le corps mental est composé d’un aspect inconscient et d’un aspect conscient. L’inconscient est la source du conscient. Plus l’Homme réfléchit, plus il conscientise, plus il ouvre les yeux sur le monde et lui-même


La Loi Intérieure de l’Homme


Chaque être humain vit dans un cadre posé par sa propre Loi Intérieure.

La Loi Intérieure est composée à partir de tout ce qu’il a appris de sa culture, de son éducation et de son expérience de vie.

La Loi Intérieure détermine dans tous les domaines de vie ce qui est permis en opposition à ce qui est interdit. Même lorsque l’être humain a l’impression de « ne pas réfléchir à ce qu’il fait », son subconscient garde le cap, faisant office de pilote automatique.


Accepter les conditions de notre incarnation


Beaucoup d’êtres humains s’estiment mal lotis lorsqu’ils se comparent à leurs congénères : famille compliquée et très imparfaite, travail inintéressant, vie quotidienne sans surprise, etc.

Pour l’oriental qui accepte la Loi de Rétribution ou Karma, il est logique qu’il récolte en cette vie ce qu’il a semé dans les précédentes.

Certaines cultures ou philosophies différentes pensent que la Loi de Rétribution ou Karma n’existe pas. Le hasard devient alors la Loi, son fruit étant, selon les cas, bénédiction ou malédiction, chance ou malchance.

Étant thérapeute et formateur d’adultes, je pense que l’acceptation de la Loi de Rétribution, ou Karma, permet à l’être humain d’accepter sa vie dans sa condition actuelle et de consacrer toute son énergie à l’améliorer positivement pour accéder à un meilleur futur.


Le médiateur : le Cœur de l’Être Humain


Tant que le Milieu de l’Homme n’est pas développé, les extrêmes entre lesquels il vit, le Ciel et la Terre, la balance d’un pôle à l’autre.

Or il possède un trésor au fond de lui : le Hara ou en d’autres termes le système entérique. Quelques 200 millions de neurones qui gèrent nos émotions.

Tout le monde peut y accéder, il suffit pour cela de se donner le droit de sentir…


L’utilité d’écouter ses émotions


L’écoute de ses émotions donne l’accès au feedback du corps physique après l’application dans le monde concret de l’idée issu du monde abstrait de la pensée.

Écouter ses émotions, c’est évaluer son ressenti sur une échelle plaisir-douleur.

Trop souvent nos réflexes nous poussent à fuir la douleur. Je pense qu’au lieu de la fuir, il vaut mieux, et de loin, prendre le temps de comprendre le pourquoi de la douleur, du ressenti désagréable afin de réfléchir à trouver une autre façon de faire, une amélioration, je dirai même une vraie évolution comportementale.


L’intelligence émotionnelle


Écouter ses émotions permet à terme de développer l’intelligence émotionnelle.

En alliant la pensée rationnelle, analytique du cerveau gauche à la pensée émotionnelle du cerveau droit. En s'additionnant, ses deux formes de penser se bonifient et le bénéfice pour l’être humain est bien supérieur à la somme des deux !

Elle permet surtout, en écoutant son ressenti en temps réel, de « mettre à jour » la Loi Intérieure en général et les actes du quotidien en particulier.


Jouir totalement de son libre-arbitre


En osant sentir, ressentir sa vie quotidienne et en méditant sur la différence qu’il existe entre sa vie concrète et les rêves qu’il nourrit, l’être humain accède à la liberté de choisir sa vie, de l’améliorer, de semer ce qu’il rêve de récolter… en toute logique.


Conclusion


L’Homme est la seule créature sur Terre capable d’avoir un mental qui parvient à se projeter dans un futur totalement imaginaire. Cela devrait lui permettre d’écrire sa destinée par et pour lui-même chaque jour de sa vie terrestre.

Cependant, beaucoup, en devenant adulte, perdent leurs rêves et leurs ailes par la même occasion. Vivre pleinement son incarnation peut être une damnation pour celui qui subit sa vie. Mais il est certain que celui qui se donne les moyens d’être le capitaine de sa vie, peut choisir du cap de celle-ci, en faisant ce qui est Juste, Bon et Vrai pour lui.

En cultivant son libre-arbitre, l’être humain devient l’architecte de sa propre vie !







[i] L’être humain, selon les médecines empiriques orientales, est composé de 7 Corps Subtils : (du plus dense ou plus subtile) corps physique, corps éthérique (vitalise le corps physique avec l’énergie vitale), corps astral (émotions), corps mental (pensées), corps causal (loi de causalité ou karma : chaque cause a un effet), corps spirituel et corps divin.

mercredi 14 septembre 2016

Sagesse du Milieu: Formation Modulaire

École de la Sagesse du Milieu


La Sagesse du Milieu apporte des outils faciles à mettre en œuvre pour… 

  • Prendre conscience de votre enfant intérieur pour comprendre puis maîtriser votre stress, vos peurs, vos angoisses et vos colères ainsi que toutes les émotions négatives qui inhibent votre potentiel.
  • Décoder les émotions des personnes qui vous entourent pour mieux les comprendre et ainsi vivre des relations positives et constructives avec votre environnement.
  • Effectuer une recherche spirituelle intérieure afin de répondre aux questions existentielles que vous vous posez légitimement. Cette démarche est effectuée par et pour vous-mêmes.
  • développer votre paix intérieure par un travail profond sur votre énergie vitale par notre méthode de relaxation.

Notre méthode a ceci de particulier qu’elle pose un cadre de travail non contraignant qui vous permet d’atteindre une pleine compréhension intérieure qui débouche sur l’accession à votre plein potentiel individuel. Notre enseignant est là pour répondre à vos questions, vous soutenir dans votre démarche personnelle spécifique et vous coacher afin que vous atteigniez vos propres objectifs.

Bien-être, sérénité, calme généré par une meilleure confiance en soi et connaissance de soi pour mieux sortir du burn out et de la déprime.

Les objectifs de notre formation en développement personnel et de nos cours sont

  • D’adapter notre enseignement afin qu’il VOUS soit utile. Depuis 1991, nous nous efforçons d’apporter dans nos cours les bienfaits du travail en groupe (partage, émulation, travail pratique en groupe, etc.) et celui du travail individuel par le biais d’un suivi personnalisé de notre enseignant afin de répondre à vos questions et besoins personnels.
  • De vous permettre d’acquérir au travers du travail pratique supervisé : relaxation, sérénité, estime de soi, confiance.
  • acquérir les bases de la thérapie holistique pour mieux vous aider par vous-même.

Pour vous inscrire ou toute demande de renseignement personnalisée,

Veuillez remplir le Formulaire de contact en pied de page.


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Taï Chi "les Douze Mouvements de Cuivre"

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La pratique quotidienne de la Gymnastique Énergétique des « 12 Mouvements de Cuivre » permet : d’améliorer sa santé globalement – de travailler la respiration ventrale – de développer son énergie interne.


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La pratique quotidienne de la Méditation Évolutive permet à toutes et tous, sans prérequis, d’acquérir pas à pas : La maîtrise de la respiration ventrale – La réduction du stress et de tous les symptômes y étant reliés – Le travail sur l’Enfant Intérieur.

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lundi 4 janvier 2016

Sagesse du Milieu: La Vraie Foi est le seul moyen d’atteindre vos rêves !!

Introduction
Prenez deux personnes de niveau égal et demandez-leur d’exécuter une épreuve nécessitant la mise en œuvre de l’ensemble de leurs capacités humaines, intellectuelles et physiques. La différence de résultats entre eux à la fin de l’épreuve correspond bien souvent à la différence de foi intérieure des deux protagonistes.
Que l’on prenne des individus ou un groupe homogène de personnes sur le long terme, il existe une relation de cause à effet entre les résultats effectifs et mesurables d’une part et le niveau intérieur de la Foi.
S’il y a une chose que j’ai apprise en 24 ans de consultations et de cours dans mes trois écoles, c’est que l’on peut :
· Aider une personne à prendre conscience de sa problématique
· L’inviter à l’accepter et lui donner les moyens de comprendre la cause de celle-ci
· Lui donner les outils thérapeutiques afin qu’elle parvienne à mobiliser en elle les ressources nécessaires à la mise en mouvement vers la résolution de sa problématique…
Par contre, tout échouera si la personne ne croit pas en elle, en la vie et la possibilité de changer afin qu’elle améliore par et pour elle-même son quotidien.

Qu’est-ce la Foi

Étymologiquement, le terme de foi provient du latin fides et se rattache à une racine indo-européenne bheidh, « avoir confiance ». Dans la tradition philosophique grecque, le mot pistis (équivalent du latin fides et du français foi) n'a aucune connotation religieuse.
La foi dont je parle dans cet article n’a rien à voir avec la religion. Elle est cette croyance profonde et intimement liée à l’épanouissement de notre personnalité dès l’enfance. La foi est LA Pulsion de Vie qui permet à chaque individu, qui qu’il soit, d’où qu’il vienne, de changer et d’évoluer, en agissant concrètement au travers d’actes visant à améliorer son quotidien. De ne pas y réfléchir, de ne pas avoir peur de le faire, de ne pas angoisser à l’idée de passer d’agir, mais simplement de passer à l’acte en croyant totalement dans la possibilité de réussite.
La vraie différence entre les êtres humains qui ont marqué l’histoire de l’Homme comme Gandhi, Mère Theresa, Martin Luther King, etc., et l’individu lambda c’est la foi. Ils ne furent pas plus intelligents ou doter de capacités physiques extraordinaires : ils crurent dans une société meilleure, une meilleure façon de vivre ou un nouveau concept, mais surtout, et c’est ce qui fait toute la différence : ils entretenaient une foi inébranlable dans le bien-fondé de leur pensé et l’ont mis en pratique devant nous, changeant notre perception et influençant notre comportement à grande échelle.
Philosophiquement la foi dont je parle est l’expression de la Vie et manifestation au travers d’actes de la personne qui la vit intérieurement. Ou plus exactement qui la cultive intérieurement. Car autant un enfant l’exprime naturellement autant l’adulte doit la cultiver, la nourrir et la chérir au risque, s’il n’y prend pas attention, de la perdre en cours de route…


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Les ennemis de la Foi

Le doute
La foi ne va pas de soi, il faut la générer ou plutôt la ressusciter. Car qui que nous soyons nous avons enfant cru, cru en nous, en la Vie et dans la possibilité de marier les deux en vivant notre Vie.
Puis un jour le doute s’immisce dans le cœur de l’enfant. À l’image des nuages noirs qui annoncent soudainement un automne froid et pluvieux dans un ciel bleu d’été ; le doute prive la personne de ses forces qui sont :
· La conviction totale et entière dans un concept, une idée, une envie vers lesquels la personne marche symboliquement
· La foi dans une vie généreuse pourvoyant à tous les besoins de la personne. Le doute détourne le regard et amène la personne à envisager l’échec voir l’échec suprême : la mort.
· La confiance dans la relation humaine : ce moyen d’expression qui permet idéalement à deux personnes en contact de grandir chacune grâce aux effets positifs du partage
Le doute génère par effet boules de neige le sentiment totalement angoissant au cœur même de la personne que celle-ci ne parviendra pas à son rêve.
Et parvenir à atteindre son idéal est essentiel pour l’être humain. Car les rêves intimes de chacun sont l’expression de ce dont sa nature profonde a besoin. Le rêve est synonyme d’idéal, de perfection pour la personne. Le rêve dans ce contexte est la projection dans le futur d’une personne qui a conscience d’avoir un avenir posif.
Nous sommes des êtres vivants qui avançons grâce aux rêves : nous rêvons à notre prochain repas qui comblera notre faim, nous rêvons au rendez-vous qui nous avons avec l’être aimé qui satisfera nos besoins affectifs, nous rêvons d’une meilleure place de travail qui nous permettra d’avoir un meilleur niveau de vie, etc.
Le rêve est l’expression de la pulsion. Et la pulsion est la cause primaire de chacun de nos mouvements. Nous bougeons vers ce qui nous satisfera ou tout du moins « est perçu comme tel ». Le rêve est le lieu à atteindre et la foi représente le véhicule nous permettant de nous y rendre.
L’absence de rêve, d’envie ou de désir au sens large du terme n’est pas normale pour l’être humain et révèle un dysfonctionnement sous-jacent. L’être humain qui vit sans rêve dans le présent est une victime de son passé. Il n’y a pas meilleur moyen pour casser un être humain que de lui briser ces rêves.
Comme je le disais plus haut, il est fréquent dans nos sociétés modernes que l’être humain parvienne à l’âge adulte en étant totalement désabusé et dépourvu de tout rêve pour le futur. Il vit alors comme un automate-perroquet, faisant ce qu’on lui de faire et disant ce qu’on lui dit de dire. Oh bien sûr que cet être humain est médicalement vivant cependant il est affectivement pratiquement mort !
L’échec
Le doute n’arrive pas par hasard. La plupart du temps l’enfant l’éprouve pour la première au moment de son premier échec qu’interprète comme un échec personnel. Ce sentiment de ne pas posséder les ressources intérieures s’il est vécu fréquemment génère une perception négative de la personne par elle-même.
L’échec s’il est mal vécu peut générer sur le long terme une complète renonciation de la personne à prétendre au succès (dans le sens « atteindre un rêve, un objectif »).
Est-ce que l’on peut bien vivre un échec ?? Oui à condition de l’associer à une mauvaise façon d’atteindre un objectif et non une évaluation de la valeur réelle d’une personne. En se donnant le droit de réévaluer la situation et déterminer une meilleure stratégie afin d’atteindre l’objectif souhaité

Le désespoir

Le désespoir est une « maladie des sentiments » fréquente et souvent méprisée alors qu’elle cause de nombreux dégâts chez l’Être Humain.
Le désespoir peut être l’effet de plusieurs causes :
· un environnement social qui dénigre, critique et ne reconnait pas les valeurs intérieures de la personne.
· Un grand choc émotionnel
· Une disparition soudaine soit d’un être aimé soit d’une situation de vie favorable
Le désespoir est aussi et surtout le synonyme de la disparition plus ou moins grande de l’envie de vivre. Et cela a évidemment un effet désastreux sur la relation que la personne établit avec son environnement :
· Autovalorisation
· Diminution de la vie sociale
· Absence d’ambition et de projets nouveaux

Les bases de la Foi

Comme nous le voyons ci-dessus, la Foi est l’expression de la Vie en mouvement. Elle permet le mouvement entre deux états d’être complètement différent.
À l’image de ces pratiquants de slackline[1], la foi permet ce sont dans le vide entre deux états de l’Être :
Ce que je suis actuellement
vers
Ce que je désire devenir

Ce que je suis étant l’état dans je me trouve actuellement. J’éprouve des manques, des insuffisances
Ma foi en moi et en la vie me permet de faire un saut dans le vide de l’état actuel vers mon idéal de vie
Ce que je désire devenir est l’état qui représente mon idéal dans tous les domaines de ma vie.

Le saut dans le vide ou le saut de la foi

Lorsqu’un être humain admet que sa vie quotidienne n’est pas idéale, il accomplit la première étape nécessaire au changement.
La 2ème étape est le mouvement entre l’état actuellement insatisfaisant en direction de l’état idéal imaginé. Le problème de cette étape est que le mouvement génère un sentiment d’insécurité intérieure inhérente à tout changement du milieu de vie. Le système nerveux humain est constitué de telle façon qu’il ne consent au changement que si le bénéfice escompté est suffisant pour justifier dudit changement.
Tout changement de vie crée un stress conséquent chez l’être humain et cela est parfaitement normal. En tenant compte de cela, une des propriétés de la foi est d’apporter la confiance, la croyance et conviction que le mouvement est nécessaire pour améliorer la vie de la personne.
À l’image d’une balance dans laquelle la personne mettrait d’un côté son envie légitime d’avoir une vie stable et sans changement… même si elle n’est pas satisfaisante et de l’autre côté son idéal de vie.
La foi apporte la force nécessaire à vaincre l’inertie générée par la routine : cette routine que chacun d’entre nous a tendance à maintenir, car elle permet de réduire le stress. C’est la raison pour laquelle je disais plus haut qu’un adulte doit générer la foi, lui donner forme et l’entretenir afin qu’elle lui procure en retour la force de quitter le petit nid douillet de la routine et sauter dans le vide pour atteindre l’idéal souhaité.

La Foi est bonne, juste et vraie

La nature de la foi est bonne, juste et vraie ; tout simplement parce que la foi est l’expression de la vie. Sachant cela, la foi sert à atteindre uniquement des idéaux positifs et constructifs pour la personne et même pour son environnement.
La foi dont nous parlons est un mouvement vers le meilleur, vers la lumière d’un futur positif et vivant. Elle sert à franchir les plus hautes montagnes, les mers les plus vastes dans un but évolutif.
La foi nous permet de revendiquer notre part de bonheur, de paix et de joie sans pour autant empiéter sur les droits de nos congénères. Elle permet de mobiliser l’ensemble de nos ressources positivement afin d’atteindre notre idéal, quel qu’il soit.
Jean-Christian Balmat, Sagesse du Milieu®
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                                                                                     Jean-Christian Balmat


[1] La slackline ou slack (fr. corde lâche) est une pratique sportive qui semble avoir été créée en Californie au début des années 1980. Il s'agit d'un exercice s'apparentant au funambulisme : au lieu de progresser sur un câble d'acier à l'aide d'un balancier, l'objectif est d'avancer sur une sangle légèrement élastique sans aucun accessoire. Cette sangle, d'une largeur variant de 19 mm à 50 mm, est tendue entre deux points d'ancrage tels que poteaux, arbres, murets, pitons d'escalade, ou même via des ancrages au niveau du sol et des supports en « A » pour élever la ligne. Cette polyvalence en fait un sport à pratiquer autant en milieu naturel qu'en milieu urbain. Source : Wikipédia