mercredi 24 septembre 2014

Sagesse du Milieu: Le secret du Sphinx (article 1)

L’école de mystère de l’Œil d’Horus fut une caste sacerdotale fermée qui a incarnée le véritable pouvoir en Egypte.

Elle fut organisée par les prêtes qui survécurent au déluge universelle et qui avaient conservé le savoir de l’ancestrale civilisation atlantidéenne. Des êtres très évolués qui ont vu dans ce cataclysme une chance de bâtir une nouvelle civilisation vouée à l’élévation spirituelle.

Ils utilisèrent leurs temples comme des livres vivants pour révéler leur connaissance sur Dieu et sur le fonctionnement de l’univers afin d’accélérer l’évolution de leur peuple. Ils concentrèrent dans ces temples tout leur savoir et toute leur richesse et en firent les vecteurs du développement de la civilisation égyptienne.

Ils enseignèrent que l’Esprit Eternel se réincarne plusieurs fois ne homme sur la Terre pour suivre un processus d’amélioration conçu par Dieu. Il s’incarne dans différents corps, né dans familles, des lieux et des époques différentes, dans différentes conditions matérielles, économiques et sanitaires. Il se réincarne plusieurs fois sur la Terre pendant que le système solaire tourne autour du centre de la galaxie, ce qui dure 25'920 ans. Un cycle appelé année cosmique. Pendant ce cycle la conscience de l’homme est sous l’influence des différentes constellations qui déterminent les processus nécessaires pour son évolution comme le soleil détermine le changement des saisons.

Les égyptiens croyaient que les étoiles déterminaient le destin d’un homme au moment de sa naissance, comme elles déterminent plus largement celui de l’humanité entière. Ils concevaient le destin comme un ensemble de difficultés que chaque homme devait connaitre dans sa vie afin d’en apprendre quelque chose. Selon eux on ne pouvait connaitre la vérité qu’en comparant des fins opposées dans un univers dual formé de contrastes, de lumière et d’obscurité.

En faisant usage de notre libre-arbitre dans les situations que nous traversons, nous apprenons les résultats de nos décisions. L’anxiété nous permet de comprendre la sérénité, la peur nous fait comprendre l’harmonie, les conséquences de la haine nous permettent de comprendre ce qu’est l’amour.

Ainsi, vie après vie, un processus d’élévation spirituelle se produit. A chaque nouvelle vie, l’homme renait plus sage, plus respectueux et plus tolérant, jusqu’à la fin de ce cycle il devienne un Surhomme immortel. A ce moment d’illumination, il est capable de se souvenir de toutes les vies qu’il a vécu, de toutes les fautes qu’il a faites, en comprenant que grâce à elles, il peut maintenant connaitre la raison de son existence. Dans la paix et l’harmonie, à un trop haut niveau d’énergie vitale, rayonnant d’amour en permanence, il peut accéder à des pouvoirs supérieurs, à une plus haute échelle de réalité, pour atteindre un nouveau cycle d’évolution.

Le processus d’évolution la tiré de son animalité originelle, en le transformant en un grand savant, en un être immortel et respectable qui ne connait plus aucune limite.
Grâce à cette compréhension de la vie, les égyptiens vécurent dans la paix et l’harmonie durant des milliers d’années, en faisant de leur civilisation un modèle. Les prêtres de l’Œil d’Horus nous ont laissé ses vérités à l’intérieur de leurs temples.

Parmi eux le Sphinx. Il révèle des mouvements astronomiques observés pendant des milliers d’années par les atlantidéens au court du cycle précédent l’ère égyptienne.

De nos jours la plupart des gens croient que l’Atlantide est un mythe. Nous devons nous souvenir que la disparition de l’Atlantide décrite par Platon, date de l’Egypte ancienne. Ce sont les prêtres du temple de Neth qui ont montré à Solon les ruines ancestrales de l’Atlantide, un mot égyptien dont le sens était rattaché à l’eau.

Le terme Atlu veut dire eau ou plus précisément la limite entre l’eau et la terre. Anti évoque la division d’un terrain, le mot composé Atlanta se réfère donc à un terrain séparé par de l’eau. Dans l’histoire racontée par Platon, la capitale de l’Atlantide, Posohinodis, était une belle ville construite en canaux concentriques, qui partageaient des bandes de terre.

Les prêtres qui avaient survécu au cataclysme qui avait anéanti l’Atlantide ont sculpté une forme symbolique monumentale, en fonction de certains calculs astronomique pour en faire une horloge qui marque les cycles importants du système solaire dans la galaxie.

La première date à y être inscrite fut le Zep Tepi, le temps nouveau, le début de l’heure h de la nouvelle civilisation qui succéda à la destruction de l’Atlantide. Le Zep Tepi est le premier pas sur le chemin de la perfection spirituelle pour toute l’humanité. Le Sphinx est la première pierre sur cette route.

La deuxième date enregistrée, est celle de la dernière catastrophe qui est survenue il y a 13'000 ans et que l’on nomme déluge universel. On trouve des traces de ce cataclysme sur toute la planète. D’autres parties du globe furent touchées en même temps que l’Egypte. Les prêtres dans leur sagesse, avaient conservé la mémoire d’autres catastrophes précédentes dont une était survenue au commencement de la civilisation atlantéenne, il y a environ 38'000 ans. Ils savaient que ses catastrophes étaient cycliques et qu’elles avaient loin à chaque changement d’année cosmique. L’observation de cette rémanence cyclique a conforté l’idée que les étoiles marquaient la durée de tous les cycles dans les différentes échelles universelles. Ces caractéristiques du Sphinx montrent l’importance à tous les niveaux du Grand Cycle Cosmique.

La rotation du système solaire autour du centre de la galaxie détermine la durée des choses physiques qui soutiennent les organisations humaines, puisque tous les 25'920 ans une catastrophe survient et laisse place à une nouvelle forme de développement, à une nouvelle organisation du monde. Les structures qui organisent la vie et le développement de l’homme, sont périodiquement détruites. A la fin de chaque cycle cosmique, de grands changements surviennent dans le soleil et provoquent d’importants désordres météorologiques qui détruisent tout ce qui a été construit sur la Terre. Les prêtres de l’Œil d’Horus, nous ont appris que cela faisait partie d’un processus conçu par Dieu, pour permettre le développement de nouvelles civilisations sur la Terre, pour permettre l’expression de nouvelles façons de voir l’univers. C’est comme si l’humanité ne formant qu’un seul corps, mourait tous les 25'920 ans pour renaître sous une forme plus parfaite, le même processus que celui par lequel passe l’homme mais à une échelle collective avec un esprit plus grand.

Dans la sphère céleste, au-dessus du Pôle Nord, se trouvent six constellations : elles sont appelées constellations polaires. Plus bas, près de l’équateur, se trouvent douze constellations zodiacales. En sachant dans laquelle des six constellations polaires et dans laquelle des douze constellations zodiacales se trouvait la Terre a un moment donné, nous déterminer exactement quelle date il était à cet instant.

Le système solaire tourne autour de la galaxie, le long d’une ligne imaginaire appelée l’écliptique. Chaque rotation dure 25'920 ans. Un cycle perpétuel que les prêtres d’Egypte nommaient l’année cosmique.

Ils ont divisé ce tour de 360° du système solaire dans la sphère céleste en douze secteurs de 30°. Le soleil met 2160 ans pour traverser chacun d’entre eux. Ce sont les douze constellations. Chacune a un nom d’animal. Elles forment le zodiaque, dont la définition est cercle des animaux.
Tout au long de cette rotation, la planète reçoit les différentes énergies des douze constellations ou signes du zodiaque. Ce sont eux qui déterminent le destin de l’homme à chacune de ses réincarnations, les circonstances difficiles par lesquels il doit passer pour effectuer son apprentissage.
En partant du point où se trouve actuellement le système solaire, au degré zéro de l’écliptique, à la fin de l’Ère du Poisson et au début de l’Ère du Verseau, nous reculons de 180°. C’est là où se trouvait le système solaire il y a 12'960 ans, au point opposé au nôtre sur l’écliptique, dans la Constellation du Lion. Les scientifiques actuels nous disent que cette période  correspond environ au pléistocène[1], quand les glaces ont fondu et que le déluge universel est survenu.

Le Sphinx est le symbole qui réunit les deux symboles qui représentent le zodiaque et les constellations polaires dans le ciel, le Lion et l’Homme, qui nous indiquent une date précise dans le temps. Cet animal hydride représente les deux zones célestes, dans lesquelles ces étoiles se trouvent. Le corps du Lion représente la Constellation du Lion, l’Homme est le symbole de la Constellation Polaire que nous appelons aujourd’hui Hercules et que les égyptiens appelaient Thoum, l’Adam de la mythologie astronomique.

Le mouvement combiné de ces deux niveaux célestes est appelé Pari Passu. La paire de constellation que la Terre traverse dans son parcours au travers de la galaxie, que les scientifiques nomment la précession des équinoxes ; le Sphinx marque ainsi le Zep Tepi, le nouveau temps.

L’étoile polaire est appelée ainsi car elle se trouve au-dessus du Pôle Nord, directement au-dessus de l’épine dorsale de la planète, de son axe de rotation. C’est une étoile fondamentale qui a le pouvoir de diriger le ciel, car vu depuis la Terre, la sphère céleste tourne autour d’elle.

L’inclinaison de l’axe de la Terre par rapport au soleil se déplace lentement pendant le cycle cosmique et vise un deuxième cercle plus haut dans le ciel formé par six étoiles polaires différentes. Les Egyptiens ont hérité de cette connaissance et savaient qu’en divisant ce deuxième cercle en segments de 60°, l’axe de la Terre point en direction d’une étoile différente tous les 4'320 ans (4320 X 6 = 25'920 ans). Ces étoiles polaires forment 6 constellations qui se trouvent exactement au-dessus du pôle nord à chaque angle de 60° sur le parcours que la Terre effectue durant l’année cosmique. On les appelle les constellations solaires, Dans la constellation de la Petite Ourse se trouve l’étoile Polaris qui est notre étoile polaire actuelle. C’est l’étoile qui guide les marins en mer. Il y a 4'320 ans l’étoile polaire était Alfa Drachons, dans la constellation du Dragon. Il y a 8'640 ans, le pouvoir céleste résidait dans l’étoile polaire de la constellation d’Hercules (synonyme de l’Homme). Il y a 12'960 ans, au moment du Déluge Universel, l’étoile polaire s’appelait Vega dans la constellation de la Lyre. Il y a 17'280 ans, l’étoile polaire était Deneb dans la constellation du Cygne. Il y a 21'600 ans, Alfirk dans la constellation de Céphée se trouvait au-dessus du pôle. Et il y a 25'920 ans, ce qui correspond à une année cosmique complète (un tour complet), l’étoile Polaris dans la Petite Ourse brillait au-dessus du pôle comme maintenant.

Ces deux groupes de constellations, les 6 du cercle polaire supérieur et les 12 du cercle zodiacal inférieur, influence l’homme en permanence. Ces deux cercles tournent autour d’un axe polaire virtuel, au centre de la galaxie, l’axe de la couronne.

Pour les Égyptiens, toutes les sphères célestes reposaient sur ces colonnes polaires disposées symétriquement, à chaque angle de 60° sur le cercle vers lequel pointe l’axe de la Terre dans son voyage à travers la galaxie. L’ancienneté et l’exactitude  des connaissances égyptiennes sont évidentes les prêtres ou Gardiens du Temps, ont hérités de données astronomiques qui avaient plus de 26'000 ans.

Les astronomes modernes ont pu prouver l’existence de ses deux mouvements qu’ils appellent la précession des équinoxes car c’est à travers le changement dans l’axe des équinoxes qu’ils ont pu les vérifier. Le soleil vu de la Terre durant une année solaire, semble avoir 4 coints, 4 positions, qui limitent son mouvement dans l’horizon, elles correspondent aux solstices d’hiver et d’été ; ainsi qu’aux équinoxes d’automne et de printemps. Le solstice d’été, le 21 juin, est le jour le plus long, et par conséquent la nuit la plus courte de l’année. Le solstice d’hiver, le 21 juin est le jour le plus court et la nuit la plus longue. Les équinoxes sont 4 jours pendant lesquels les nuits et les jours ont la même durée.

A Gizeh, le soleil fait face au Sphinx aux moments des équinoxes et il se lève à 20° de longitude nord-est, au solstice d’hiver et à 28° de longitude sud-est au solstice d’été. Les équinoxes sont non seulement des points d’équilibre en le jour et la nuit, mais aussi entre les énergies de la lumière et des ténèbres. Ces jours-là, les portes dimensionnelles du temps et de l’espace s’ouvrent. C’est pour ça que les jours d’équinoxe ont traditionnellement toujours été importants pour toutes les cultures sur la Terre.

Chaque année la ligne imaginaire qui rejoints les deux équinoxes, change légèrement d’inclinaison, par rapport au soleil. Cet axe se déplace de 1° en 72 ans et de 30° en 2160 ans. Au bout de 25'920 ans, il a effectué une rotation de 360°. Par conséquent, ce que l’on appelle aujourd’hui la précession des équinoxes, correspond exactement au cycle définit par les égyptiens dans leur écrit appelé le Pari Pasu, aux deux niveaux de rotation de la Terre durant la grande année cosmique. En reliant le signe du Lion avec celui de l’Homme  dans la constellation d’Hercules, le Sphinx marque le moment qui a immédiatement suivi le déluge universel un désastre qui arrive périodiquement, à la fin de chaque grand cycle cosmique, tous les 25'920 ans. Le Sphinx est la plus grande sculpture sur Terre. Son énorme corps a été taillé dans une seule roche, afin de perdurer à travers les siècles. Ce monolithe géant, d’un seul tenant, fut érigé sur le plateau de Gizeh. Il mesure 80 mètres de long, 13 mètres de large, et 20 mètre de hauteur. Il aussi grand qu’un pâté de maisons. Pour former son corps, les égyptiens ont sculpté d’énormes blocs de pierre qui ont ensuite été utilisés pour construire deux énormes temples en face de lui. Enigmatique et imposant, c’est le plus beau monument qui nous reste depuis le passé. Il a vu à ses pieds naître, changer et disparaitre plusieurs cultures. Sa localisation géographique, sur le plateau de Gizeh, aussi appelé Rostau dans l’ancestrale Livre des Morts, est très particulière. Son corps de lion est situé par rapport à l’équateur à 30° de latitude Nord et presque exactement sur le méridien qui se trouve au 30° de longitude entre le Pôle Nord et le Pôle Sud. 30° de latitude, 30° de longitude sur l’un des points diamagnétiques de la planète. De nos jours nous savons que le réseau électromagnétique de la planète se structure tout autour de la Terre, entre les 30ème parallèles Nord et Sud et à des distances harmonieuses, égales et régulières. Toutes les créatures aussi petites soient-elles, possèdent un réseau neuronal, une matrice qui canalise et diffuse harmonieusement l’énergie dont leur corps a besoin. La Terre est enveloppée par ce réseau géométriquement parfait, de lignes équidistantes, composé de polyèdres, le long desquels circule l’énergie qui nous permet de vivre. Ce sont les réseaux Curry et Hartmann. Ils forment une matrice de points névralgiques qui produisent naturellement de « tourbillons énergétiques » (vortex, cheminés cosmotelluriques). Ces tourbillons ont été secrètement utilisés par les gouvernements et les individus qui en ont la connaissance pour générer de forces anti gravitationnelles, permettant la lévitation. Ces tourbillons électromagnétiques sont harmonieusement répartis sur la surface du globe  et provoquent des désordres magnétiques et énergétiques avérés. Le triangle des Bermudes, du Dragon et du Démon où des disparitions mystérieuses ont eu lieu sont des points diamagnétiques reconnu. D’autres cultures que les égyptiens, ont judicieusement bâties des pyramides sur des points diamagnétiques. Des pays y ont stratégiquement placé des bases militaires. Avec une technologie adéquate, l’énergie de la Terre peut être utilisée sur ces points afin de neutraliser l’effet de la gravité sur n’importe quel objet qui se trouve dans son champ d’action. Des expériences de changement dimensionnels comme l’expérience de Philadelphie, dirigée par Nicolas Tesla en 1943 ont aussi été réalisées sur ces points. A l’endroit de ces tourbillons apparaissent également des portes dimensionnelles qui s’ouvrent et se ferment les jours d’équinoxe. Pour les égyptiens, les jours d’équinoxe correspondait à la porte de Maât, la déesse de l’équilibre et de justice. Ces jours-là avaient lieu sur le plateau Rostau des cérémonies particulières auxquels participaient élèves des Ecoles des Mystères. Ils se servaient du tourbillon pour terminer la formation des prêtres qui avaient atteint après des années le 5ème ou 6ème niveau de conscience. Ils étaient alors transportés par une force externe jusqu’aux plus hautes dimensions. Les prêtres de l’Œil d’Horus ont utilisé leur savoir ancestral pour construire à un point précis du réseau magnétique de la planète une grande pyramide qui leur permettait d’exploiter une source inépuisable d’énergie à des fins spirituelles. Ils recevaient dans leur corps les énergies condensées de la planète grâce auxquels ils pouvaient atteindre des très hauts niveaux de vibration qui provoquaient chez eux des états particuliers de conscience. La Grande Pyramide était appelée l’Arche de Ra-Harmakhu et elle a été construite sur un tourbillon électromagnétique qu’ils pouvaient utiliser les jours d’équinoxes quand les domaines de la lumière et de l’obscurité étaient équilibrés par Maât. Ces jours-là naissaient les Nether, les esprits exceptionnel, les Shemsu-Hor, disciples d’Horus qui rayonnaient d’amour et guidaient leur peuple en élevant son niveau de conscience par leur exemple et par leur connaissance de la réalité de l’univers.


                                                                                     Jean-Christian Balmat







[1] Le Pléistocène (du grec ancien pleistos, nombreux, et kainos, récent) est la plus ancienne époque géologique du Quaternaire et l'avant-dernière sur l'échelle des temps géologiques (tant que la proposition de création de l'Anthropocène n'est pas retenue). Elle s'étend sur environ 2,6 millions d'années à 12 000 ans avant le présent. Source : Wikipédia

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