12 constellations du zodiaque
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Période correspondante
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Faits marquants
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Capricorne
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-21’750-19'590 av.
JC
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Sagittaire
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-19'590 à -17'430
av. JC
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Scorpion
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-17'430 à -15’270
av. JC
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Balance
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-15'270 à -13’110
av. JC
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Vierge
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-13'110 à -10'950
av. JC
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Déluge universel…..
Zep Tepi
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Lion
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-10'950 à -8'790
av. JC
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Cancer
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-8'790 à -6'630 av.
JC
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Gémeaux
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-6'630 à -4'470 av.
JC
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Taureau
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-4'470 à 2’310 av.
JC
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Bélier
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-2’310 à -150 av.
JC
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Poisson
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-150 av. JC à 2’010
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Verseau
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2’010 à 4’170
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Nous…
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la Sagesse du Milieu est une méthode de développement personnel, qui allie les méthodes traditionnelles orientales et occidentales. Notre blog est dédié à la publication d'articles, d'échanges d'idées sur le développement personnel, la Connaissance, la découverte de l'Homme Spirituel. A la disposition de toute personne intéressée par le partage, notre blog se veut un espace d’échange libre et exempt de tout prosélytisme politique et religieux. relaxation, méditation, estime de soi,
mercredi 24 septembre 2014
Sagesse du Milieu: Le secret du Sphinx (article 2)
Dans le Livre des Morts, dans la 5ème section
appelée Rostau, apparait une forme pyramidal gardée par deux sphinx en forme de
lion, qui font face au soleil à chaque équinoxe et protègent l’entrée au
royaume de Sokar.
Les couloirs ascendants ressemblent aux passages de la
Grande Pyramide. C’est là où a eu lieu la transformation de l’Osiris que chaque
être humain porte à l’intérieur de lui-même. C’est là où se produit
l’illumination qui le transforme en Horus, le Surhomme immortel. La forme du
lion est elle aussi fortement liée à ce processus d’évolution. Le lion est
l’animal le plus évolué et pour les égyptiens, il représente le dernier moment
d’une conscience d’animal qui évolue vers l’état de Surhomme.
Ces éléments parmi de nombreuses preuves, font de l’emplacement
du Sphinx un lieu particulier et disqualifie l’idée selon laquelle le Sphinx ne
serait qu’un simple monument et la Grande Pyramide un tombeau. Des raisons ont
fait naître la conviction que le pharaon Khephren, qui a régné entre -2520 et
-2484 av. JC est celui qui a ordonner de le sculpter dans un même bloc de
roche.
La première raison est que l’on pense que son visage
ressemble à un statut de diorite noire du pharaon Khephren, qui a été
retrouvée, enterrée la tête à l’envers près du Sphinx dans le temple de la
vallée. Cette statue le représente avec un faucon sur la nuque. En
reconstituant la forme originale du Sphinx à l’aide de l’imagerie numérique, on
peut constater que ses traits sont totalement différents de ceux de Khephren. Il
est reconnu que le Sphinx était appelé Abu-Hol et pendant très longtemps il a
été peint en rouge, couleur de l’Egypte. Avec le temps, ont disparu, le
pectoral fait de pierres semi-précieuses, la barbichette, les couleurs de son
élégant Némés (coiffe des pharaon) ainsi que toutes les plaques de granit blanc
polis de la pyramide de Khephren.
La seconde raison est qu’une stèle sculptée dans la pierre
avec la syllabe Kef écrit sur la 13ème
ligne a été retrouvée entre les bras du Sphinx. Selon les égyptologues
traditionnels, ceci permet d’attribuer la construction à Khephren. La stèle a
été réalisée sous le règne du pharaon Touthmôsis 4, entre -1401 et 1392 av. JC
pour commémorer la restauration du Sphinx grâce à laquelle on put retirer le
sable qui le recouvrait jusqu’au cou. La stèle indique que le Sphinx est la
personnification d’un grand pouvoir magique qui a existé à cet endroit depuis
le début des temps, depuis le Zep Tepi. Son texte di que quand il était très
jeune Touthmôsis 4 a vu le Sphinx en rêve et que celui-ci lui a promis qu’il
deviendrait pharaon s’il le faisait d’ensabler. En vérité elle ne donne aucune
indication sur celui qui a ordonné sa construction. Il n’y est fait aucune
mention de Khephren comme bâtisseur du Sphinx. Il fut sûrement l’un des
restaurateurs qui comme Touthmôsis 4 ont enlevé le sable qui l’avait recouvert
au court du temps.
Une autre pierre sculptée, appelée la stèle de l’inventeur, retourné
dans Gizeh par Auguste Mariette, indique que le pharaon Kheops, le prédécesseur
de Khephren, a ordonné la construction d’un temple à côté du Sphinx. Ce qui
prouve que le Sphinx existait déjà et que son successeur ne peut pas l’avoir
construit.
Pourtant cette stèle n’a pas été reconnue par les
égyptologues orthodoxes qui considèrent qu’elle n’est pas d’époque car le style
ne correspond pas à celui en usage sous le règne de Kheops,
En réalité le Sphinx est resté enterré dans le sable durant
des milliers d’années. Plusieurs souverains bienveillants ont ordonné de le
nettoyer. Il était alors désensablé pendant quelques temps mais on le
négligeait de nouveau. La direction de ses yeux est une autre clef pour
comprendre son mystère. Sa tête d’homme fait face à l’Est. Il a ainsi contemplé
le lever du soleil pendant des milliers d’années. Ses yeux montrent intentionnellement
et avec précision un point de l’horizon : là où le soleil se lève les
jours d’équinoxe, le vrai Est, le point de passage dimensionnel. La variation
de l’angle de la ligne imaginaire qui en passant par le soleil réunit
l’équinoxe de printemps et l’équinoxe d’automne, est aujourd’hui utiliser pour variation
d’angle ou précession des équinoxes tout au long de la grande année cosmique.
Son angle varie de 1° en 72 ans, de 30° en 2160 ans et de 360° en 25'920 ans. Elle
marque l’année cosmique, le cycle qui détermine les réincarnations de l’homme
et la survenue de cataclysmes périodiques. A partir de l’emplacement exact du Sphinx
des scientifiques américains ont reconstitué la sphère céleste en calculant
avec un ordinateur la position de la Terre sur l’écliptique, il y a 12'960 ans
et le déplacement du système solaire. Ils ont confirmé qu’à cette époque, au
point exact vers lequel regarde le Sphinx, le vrai Est de l’horizon, a une
latitude de 30° se levaient chaque nuit
les étoiles de la constellation du Lion. Le Sphinx regardait à l’horizon
les étoiles du signe zodiacal du Lion, la constellation que le système solaire
traversait à ces temps-là. Ces travaux confirment donc le message que le Sphinx
veut nous transmettre sur le temps, sur sa forma symbolique et sur son
emplacement précis. Au même moment à 90° au Sud, se trouvait la constellation
d’Orion, à 9° sur la ligne du méridien Nord-Sud. Et Sirius, l’étoile la plus
importante pour les égyptiens, car son apparition annonçait la cru du Nil, se
trouvait exactement à 14° à gauche du méridien.
La date que le Sphinx nous indique, le début de la nouvelle
civilisation, le Zep Tepi, est confirmée par la relation entre sa forme
symbolique et la constellation zodiacal de Lion d’une part et de la
constellation polaire d’Hercules d’autre part. La direction de ses yeux
indiquant l’équinoxe printanière au lever du soleil et la constellation du Lion
la nuit fait de lui une horloge astronomique tout à fait exacte. Son
emplacement a été choisi avec une grande précision pour en faire le porteur
d’un message à l’attention de tous ceux qui à l’avenir chercheraient la vérité.
Il nous dit que le cycle le plus important pour l’homme est l’année cosmique et
nous montre un emplacement du réseau électromagnétique de la planète.
Il y a un autre élément du Sphinx qui confirme le Zep Tepi, le
moment où le Sphinx a été construit. C’est une preuve d’origine géologique et
climatique. En 1960, le mathématicien
René Schwaller, a déclaré que le corps de lion du Sphinx montrait des signes
d’érosion provoquée par la pluie. Cette révélation fut accueillie avec stupéfaction
car il est connu que le Sphinx a été enterré dans le sable jusqu’au cou, 90% du
temps pendant les 4500 dernières années. Depuis l’an 2500 av. JC, la date où on
a coutume d’admettre qu’il a été construit par le pharaon Khephren, seuls
quelques souverains bienveillants se sont donné la peine de le restaurer,
faisant enlever le sable qui le recouvrait. L’un des derniers désensablements
fut ordonné par Napoléon quand il était en Egypte. Ainsi comment pourrait-il
montrer des signes d’érosion provoquée par la pluie ? En outre, il a été
prouvé que le climat en Egypte, a été le même pendant ces 4500 ans :
aride, sec, avec des pluies rares. Les scientifiques nous disent que le
changement climatique radical qui est survenu dans la région à la fin du
pléistocène[1] la progressivement transformé en désert que
nous voyons maintenant. Cela signifie que la pluie qui a érodée le corps du
Sphinx pourrait seulement être tombée entre les années -10'960 et -5000 av. JC
quand le plateau de Gizeh s’est transformé en désert de sable et que le Sphinx
a été enterré jusqu’au cou, protégé du temps.
Une expédition de l’université de Boston a vérifié que les
signes d’érosion ont été provoqués par la pluie et ont déterminé que ces
profondes crevasses ont mis des milliers d’années à se former.
Ceci confirme l’antériorité du Sphinx et relance le débat
sur la date de création de cette civilisation, point sur lequel les égyptologues
orthodoxes ne sont pas parvenus à s’accorder. Il nous reste très peu de traces
des monarques égyptiens et celles qui restent ne sont pas toujours reconnus. Le
papyrus de Turin et la galerie des cartouches dans le Temple d’Osiris, à Abidos,
énumèrent le nom des pharaons dont l’existence est avérée. On attribue
l’unification de l’Egypte vers l’an -3000 av. JC au légendaire roi Mènes dont
le nom apparait sur la tablette de Narmer. Selon l’histoire officielle, il
aurait ainsi donné naissance à la première dynastie de pharaons mais ces
inventaires comme celui dressé par le prêtre Maneto en l’an -300 av. JC, dans
son histoire de civilisation égyptienne, remonte en réalité plus loin dans le
temps. Faisant référence à des souverains antérieurs, qui ne sont pas
aujourd’hui reconnu, car ils sont considérés comme des mythes irréels. Ce sont
les Shemsu Hor, les disciples d’Horus, des ancêtres divins, des êtres éclairés
qui ont gouverné l’Egypte pendant 13'900 ans. Puis vient le tour des Acu ou
hommes sages, d’autres monarques exceptionnels qui d’après ses documents ont
dirigé l’Egypte pendant 11'000 ans, avant l’avènement de pharaons qui régnèrent
durant 30 dynasties. Cela signifie qu’il y a avait une civilisation en Egypte
avant même le déluge universelle pendant le cycle atlantidéen, avant le Zep
Tepi et le commencement d’un nouveau cycle intégrant les connaissances
antérieures. Ceci explique aussi un des incohérences de l’histoire officielle qui
fait débuter la civilisation égyptienne vers l’an -3000 av JC. Il est
inconcevable que l’art, la science, les techniques d’architectures et
l’écriture hiéroglyphique ait pu être aussi développé dès cette époque.
Certaines des réalisations des premières dynasties, surpassent les
développements ultérieurs. Il est dur de comprendre comment le site de Saqqarah,
avec ces briques travaillées, ces décorations en céramique très raffinées, ses
détails architecturaux harmonieux, ses colonnes et ses pyramides capables de
résister durant des milliers d’années a pu surgir soudainement du néant. C’est
comme si notre civilisation actuelle avait subitement construit une navette
spatiale sans jamais avoir connu les avions de toile, le DC3 ou les vols Gemini
qui conduisirent l’homme sur la lune. Il est clair que la civilisation
égyptienne à hériter du savoir accumulé durant le cycle précédent et qu’elle a
été guidée dès son commencement par une caste sacerdotale d’êtres très évolués
spirituellement comme l’attestent les découvertes archéologiques retraçant la
liste des souverains égyptiens. Ceci confirme également que le Sphinx a été
sculpté dans la pierre par les prêtes de l’école de mystère de l’Œil de Horus
immédiatement après le déluge universelle durant la période prédynastique. Le
Sphinx est une sculpture gigantesque. Construite en un seul bloc, pour résister
à l’épreuve du temps. Sa forme symbolique a été minutieusement étudiée pour en
faire un point de rencontre astronomique. Il se trouve précisément sur un nœud
diamagnétique de la planète, indiquant la présence de forces énergétiques
planétaires là où la Grande Pyramide a été construite.
La direction de son regard vers un point précis de l’horizon
où le soleil se lève les jours d’équinoxe montre l’importance de la porte de Maât,
l’entrée du royaume de Sokar au moment d’équilibre entre le jour et la nuit.
Dans cet univers de contraste, c’est seulement grâce à cet équilibre entre la
lumière et l’obscurité, entre deux extrêmes, que l’unité peut être réalisée.
Ce niveau de compréhension ne peut être atteint qu’en
évaluant les résultats de décisions prises au cours de nombreuses incarnations.
Pour trouver la Voie du respect et de la tolérance, de la paix et de
l’harmonie.
Tous les temps de la civilisation égyptienne ont porté ce
message. Le chemin du perfectionnement par la réincarnation pour atteindre
l’illumination était le fondement de leur foi.
Le Sphinx montre également que la civilisation égyptienne
remonte à très longtemps. Au commencement du monde nouveau, le Zep Tepi, il y a
12'900 ans quand les étoiles de la constellation du Lion, brillaient en face de
lui. Le Sphinx rappelle l’existence de l’année cosmique, le cycle le plus
important pour l’humanité. Il confirme que la civilisation atlantéenne a
vraiment existé. Il incarne la certitude qu’il existe une sagesse supérieure.
Bibliographie :
·
L’Âme du Dragon. De Jacques Pialoux. Ed. Conelius
Celsus
·
Le Paradis Perdu de Mu. De Louis-Claude Vincent.
Epuisé
Jean-Christian Balmat
[1] Le
Pléistocène (du grec ancien pleistos, nombreux, et kainos, récent) est la plus
ancienne époque géologique du Quaternaire et l'avant-dernière sur l'échelle des
temps géologiques (tant que la proposition de création de l'Anthropocène n'est
pas retenue). Elle s'étend sur environ 2,6 millions d'années à 12 000 ans avant
le présent. Source : Wikipédia
Libellés :
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Sagesse du Milieu: Le secret du Sphinx (article 1)
L’école de mystère de l’Œil d’Horus fut une caste sacerdotale
fermée qui a incarnée le véritable pouvoir en Egypte.
Elle fut organisée par les prêtes qui survécurent au déluge
universelle et qui avaient conservé le savoir de l’ancestrale civilisation
atlantidéenne. Des êtres très évolués qui ont vu dans ce cataclysme une chance
de bâtir une nouvelle civilisation vouée à l’élévation spirituelle.
Ils utilisèrent leurs temples comme des livres vivants pour
révéler leur connaissance sur Dieu et sur le fonctionnement de l’univers afin
d’accélérer l’évolution de leur peuple. Ils concentrèrent dans ces temples tout
leur savoir et toute leur richesse et en firent les vecteurs du développement
de la civilisation égyptienne.
Ils enseignèrent que l’Esprit Eternel se réincarne plusieurs
fois ne homme sur la Terre pour suivre un processus d’amélioration conçu par
Dieu. Il s’incarne dans différents corps, né dans familles, des lieux et des
époques différentes, dans différentes conditions matérielles, économiques et
sanitaires. Il se réincarne plusieurs fois sur la Terre pendant que le système
solaire tourne autour du centre de la galaxie, ce qui dure 25'920 ans. Un cycle
appelé année cosmique. Pendant ce cycle la conscience de l’homme est sous l’influence
des différentes constellations qui déterminent les processus nécessaires pour
son évolution comme le soleil détermine le changement des saisons.
Les égyptiens croyaient que les étoiles déterminaient le
destin d’un homme au moment de sa naissance, comme elles déterminent plus
largement celui de l’humanité entière. Ils concevaient le destin comme un
ensemble de difficultés que chaque homme devait connaitre dans sa vie afin d’en
apprendre quelque chose. Selon eux on ne pouvait connaitre la vérité qu’en comparant
des fins opposées dans un univers dual formé de contrastes, de lumière et
d’obscurité.
En faisant usage de notre libre-arbitre dans les situations
que nous traversons, nous apprenons les résultats de nos décisions. L’anxiété
nous permet de comprendre la sérénité, la peur nous fait comprendre l’harmonie,
les conséquences de la haine nous permettent de comprendre ce qu’est l’amour.
Ainsi, vie après vie, un processus d’élévation spirituelle
se produit. A chaque nouvelle vie, l’homme renait plus sage, plus respectueux
et plus tolérant, jusqu’à la fin de ce cycle il devienne un Surhomme immortel. A
ce moment d’illumination, il est capable de se souvenir de toutes les vies
qu’il a vécu, de toutes les fautes qu’il a faites, en comprenant que grâce à
elles, il peut maintenant connaitre la raison de son existence. Dans la paix et
l’harmonie, à un trop haut niveau d’énergie vitale, rayonnant d’amour en
permanence, il peut accéder à des pouvoirs supérieurs, à une plus haute échelle
de réalité, pour atteindre un nouveau cycle d’évolution.
Le processus d’évolution la tiré de son animalité
originelle, en le transformant en un grand savant, en un être immortel et
respectable qui ne connait plus aucune limite.
Grâce à cette compréhension de la vie, les égyptiens
vécurent dans la paix et l’harmonie durant des milliers d’années, en faisant de
leur civilisation un modèle. Les prêtres de l’Œil d’Horus nous ont laissé ses
vérités à l’intérieur de leurs temples.
Parmi eux le Sphinx. Il révèle des mouvements astronomiques
observés pendant des milliers d’années par les atlantidéens au court du cycle
précédent l’ère égyptienne.
De nos jours la plupart des gens croient que l’Atlantide est
un mythe. Nous devons nous souvenir que la disparition de l’Atlantide décrite
par Platon, date de l’Egypte ancienne. Ce sont les prêtres du temple de Neth
qui ont montré à Solon les ruines ancestrales de l’Atlantide, un mot égyptien
dont le sens était rattaché à l’eau.
Le terme Atlu veut dire eau ou plus précisément la limite
entre l’eau et la terre. Anti évoque la division d’un terrain, le mot composé
Atlanta se réfère donc à un terrain séparé par de l’eau. Dans l’histoire
racontée par Platon, la capitale de l’Atlantide, Posohinodis, était une belle
ville construite en canaux concentriques, qui partageaient des bandes de terre.
Les prêtres qui avaient survécu au cataclysme qui avait
anéanti l’Atlantide ont sculpté une forme symbolique monumentale, en fonction
de certains calculs astronomique pour en faire une horloge qui marque les
cycles importants du système solaire dans la galaxie.
La première date à y être inscrite fut le Zep Tepi, le temps
nouveau, le début de l’heure h de la nouvelle civilisation qui succéda à la
destruction de l’Atlantide. Le Zep Tepi est le premier pas sur le chemin de la
perfection spirituelle pour toute l’humanité. Le Sphinx est la première pierre
sur cette route.
La deuxième date enregistrée, est celle de la dernière
catastrophe qui est survenue il y a 13'000 ans et que l’on nomme déluge
universel. On trouve des traces de ce cataclysme sur toute la planète. D’autres
parties du globe furent touchées en même temps que l’Egypte. Les prêtres dans
leur sagesse, avaient conservé la mémoire d’autres catastrophes précédentes dont
une était survenue au commencement de la civilisation atlantéenne, il y a
environ 38'000 ans. Ils savaient que ses catastrophes étaient cycliques et qu’elles
avaient loin à chaque changement d’année cosmique. L’observation de cette
rémanence cyclique a conforté l’idée que les étoiles marquaient la durée de
tous les cycles dans les différentes échelles universelles. Ces
caractéristiques du Sphinx montrent l’importance à tous les niveaux du Grand
Cycle Cosmique.
La rotation du système solaire autour du centre de la
galaxie détermine la durée des choses physiques qui soutiennent les
organisations humaines, puisque tous les 25'920 ans une catastrophe survient et
laisse place à une nouvelle forme de développement, à une nouvelle organisation
du monde. Les structures qui organisent la vie et le développement de l’homme,
sont périodiquement détruites. A la fin de chaque cycle cosmique, de grands
changements surviennent dans le soleil et provoquent d’importants désordres
météorologiques qui détruisent tout ce qui a été construit sur la Terre. Les
prêtres de l’Œil d’Horus, nous ont appris que cela faisait partie d’un
processus conçu par Dieu, pour permettre le développement de nouvelles
civilisations sur la Terre, pour permettre l’expression de nouvelles façons de
voir l’univers. C’est comme si l’humanité ne formant qu’un seul corps, mourait
tous les 25'920 ans pour renaître sous une forme plus parfaite, le même processus
que celui par lequel passe l’homme mais à une échelle collective avec un esprit
plus grand.
Dans la sphère céleste, au-dessus du Pôle Nord, se trouvent
six constellations : elles sont appelées constellations polaires. Plus
bas, près de l’équateur, se trouvent douze constellations zodiacales. En
sachant dans laquelle des six constellations polaires et dans laquelle des
douze constellations zodiacales se trouvait la Terre a un moment donné, nous
déterminer exactement quelle date il était à cet instant.
Le système solaire tourne autour de la galaxie, le long
d’une ligne imaginaire appelée l’écliptique. Chaque rotation dure 25'920 ans.
Un cycle perpétuel que les prêtres d’Egypte nommaient l’année cosmique.
Ils ont divisé ce tour de 360° du système solaire dans la
sphère céleste en douze secteurs de 30°. Le soleil met 2160 ans pour traverser
chacun d’entre eux. Ce sont les douze constellations. Chacune a un nom
d’animal. Elles forment le zodiaque, dont la définition est cercle des animaux.
Tout au long de cette rotation, la planète reçoit les
différentes énergies des douze constellations ou signes du zodiaque. Ce sont
eux qui déterminent le destin de l’homme à chacune de ses réincarnations, les circonstances
difficiles par lesquels il doit passer pour effectuer son apprentissage.
En partant du point où se trouve actuellement le système
solaire, au degré zéro de l’écliptique, à la fin de l’Ère du Poisson et au
début de l’Ère du Verseau, nous reculons de 180°. C’est là où se trouvait le
système solaire il y a 12'960 ans, au point opposé au nôtre sur l’écliptique,
dans la Constellation du Lion. Les scientifiques actuels nous disent que cette période
correspond environ au pléistocène[1],
quand les glaces ont fondu et que le déluge universel est survenu.
Le Sphinx est le symbole qui réunit les deux symboles qui
représentent le zodiaque et les constellations polaires dans le ciel, le Lion
et l’Homme, qui nous indiquent une date précise dans le temps. Cet animal
hydride représente les deux zones célestes, dans lesquelles ces étoiles se
trouvent. Le corps du Lion représente la Constellation du Lion, l’Homme est le
symbole de la Constellation Polaire que nous appelons aujourd’hui Hercules et
que les égyptiens appelaient Thoum, l’Adam de la mythologie astronomique.
Le mouvement combiné de ces deux niveaux célestes est appelé
Pari Passu. La paire de constellation que la Terre traverse dans son parcours
au travers de la galaxie, que les scientifiques nomment la précession des
équinoxes ; le Sphinx marque ainsi le Zep Tepi, le nouveau temps.
L’étoile polaire est appelée ainsi car elle se trouve
au-dessus du Pôle Nord, directement au-dessus de l’épine dorsale de la planète,
de son axe de rotation. C’est une étoile fondamentale qui a le pouvoir de
diriger le ciel, car vu depuis la Terre, la sphère céleste tourne autour
d’elle.
L’inclinaison de l’axe de la Terre par rapport au soleil se
déplace lentement pendant le cycle cosmique et vise un deuxième cercle plus
haut dans le ciel formé par six étoiles polaires différentes. Les Egyptiens ont
hérité de cette connaissance et savaient qu’en divisant ce deuxième cercle en
segments de 60°, l’axe de la Terre point en direction d’une étoile différente
tous les 4'320 ans (4320 X 6 = 25'920 ans). Ces étoiles polaires forment 6 constellations
qui se trouvent exactement au-dessus du pôle nord à chaque angle de 60° sur le
parcours que la Terre effectue durant l’année cosmique. On les appelle les
constellations solaires, Dans la constellation de la Petite Ourse se trouve
l’étoile Polaris qui est notre étoile polaire actuelle. C’est l’étoile qui
guide les marins en mer. Il y a 4'320 ans l’étoile polaire était Alfa Drachons,
dans la constellation du Dragon. Il y a 8'640 ans, le pouvoir céleste résidait
dans l’étoile polaire de la constellation d’Hercules (synonyme de l’Homme). Il
y a 12'960 ans, au moment du Déluge Universel, l’étoile polaire s’appelait Vega
dans la constellation de la Lyre. Il y a 17'280 ans, l’étoile polaire était
Deneb dans la constellation du Cygne. Il y a 21'600 ans, Alfirk dans la
constellation de Céphée se trouvait au-dessus du pôle. Et il y a 25'920 ans, ce
qui correspond à une année cosmique complète (un tour complet), l’étoile
Polaris dans la Petite Ourse brillait au-dessus du pôle comme maintenant.
Ces deux groupes de constellations, les 6 du cercle polaire
supérieur et les 12 du cercle zodiacal inférieur, influence l’homme en permanence.
Ces deux cercles tournent autour d’un axe polaire virtuel, au centre de la
galaxie, l’axe de la couronne.
Pour les Égyptiens, toutes les sphères célestes reposaient
sur ces colonnes polaires disposées symétriquement, à chaque angle de 60° sur
le cercle vers lequel pointe l’axe de la Terre dans son voyage à travers la
galaxie. L’ancienneté et l’exactitude
des connaissances égyptiennes sont évidentes les prêtres ou Gardiens du
Temps, ont hérités de données astronomiques qui avaient plus de 26'000 ans.
Les astronomes modernes ont pu prouver l’existence de ses
deux mouvements qu’ils appellent la précession des équinoxes car c’est à
travers le changement dans l’axe des équinoxes qu’ils ont pu les vérifier. Le
soleil vu de la Terre durant une année solaire, semble avoir 4 coints, 4
positions, qui limitent son mouvement dans l’horizon, elles correspondent aux
solstices d’hiver et d’été ; ainsi qu’aux équinoxes d’automne et de printemps.
Le solstice d’été, le 21 juin, est le jour le plus long, et par conséquent la nuit
la plus courte de l’année. Le solstice d’hiver, le 21 juin est le jour le plus
court et la nuit la plus longue. Les équinoxes sont 4 jours pendant lesquels
les nuits et les jours ont la même durée.
A Gizeh, le soleil fait face au Sphinx aux moments des
équinoxes et il se lève à 20° de longitude nord-est, au solstice d’hiver et à
28° de longitude sud-est au solstice d’été. Les équinoxes sont non seulement
des points d’équilibre en le jour et la nuit, mais aussi entre les énergies de
la lumière et des ténèbres. Ces jours-là, les portes dimensionnelles du temps
et de l’espace s’ouvrent. C’est pour ça que les jours d’équinoxe ont
traditionnellement toujours été importants pour toutes les cultures sur la
Terre.
Chaque année la ligne imaginaire qui rejoints les deux
équinoxes, change légèrement d’inclinaison, par rapport au soleil. Cet axe se
déplace de 1° en 72 ans et de 30° en 2160 ans. Au bout de 25'920 ans, il a
effectué une rotation de 360°. Par conséquent, ce que l’on appelle aujourd’hui
la précession des équinoxes, correspond exactement au cycle définit par les
égyptiens dans leur écrit appelé le Pari Pasu, aux deux niveaux de rotation de
la Terre durant la grande année cosmique. En reliant le signe du Lion avec
celui de l’Homme dans la constellation d’Hercules,
le Sphinx marque le moment qui a immédiatement suivi le déluge universel un
désastre qui arrive périodiquement, à la fin de chaque grand cycle cosmique,
tous les 25'920 ans. Le Sphinx est la plus grande sculpture sur Terre. Son
énorme corps a été taillé dans une seule roche, afin de perdurer à travers les
siècles. Ce monolithe géant, d’un seul tenant, fut érigé sur le plateau de
Gizeh. Il mesure 80 mètres de long, 13 mètres de large, et 20 mètre de hauteur.
Il aussi grand qu’un pâté de maisons. Pour former son corps, les égyptiens ont sculpté
d’énormes blocs de pierre qui ont ensuite été utilisés pour construire deux
énormes temples en face de lui. Enigmatique et imposant, c’est le plus beau
monument qui nous reste depuis le passé. Il a vu à ses pieds naître, changer et
disparaitre plusieurs cultures. Sa localisation géographique, sur le plateau de
Gizeh, aussi appelé Rostau dans l’ancestrale Livre des Morts, est très
particulière. Son corps de lion est situé par rapport à l’équateur à 30° de
latitude Nord et presque exactement sur le méridien qui se trouve au 30° de
longitude entre le Pôle Nord et le Pôle Sud. 30° de latitude, 30° de longitude
sur l’un des points diamagnétiques de la planète. De nos jours nous savons que
le réseau électromagnétique de la planète se structure tout autour de la Terre,
entre les 30ème parallèles Nord et Sud et à des distances
harmonieuses, égales et régulières. Toutes les créatures aussi petites
soient-elles, possèdent un réseau neuronal, une matrice qui canalise et diffuse
harmonieusement l’énergie dont leur corps a besoin. La Terre est enveloppée par
ce réseau géométriquement parfait, de lignes équidistantes, composé de
polyèdres, le long desquels circule l’énergie qui nous permet de vivre. Ce sont
les réseaux Curry et Hartmann. Ils forment une matrice de points névralgiques
qui produisent naturellement de « tourbillons énergétiques » (vortex,
cheminés cosmotelluriques). Ces tourbillons ont été secrètement utilisés par
les gouvernements et les individus qui en ont la connaissance pour générer de
forces anti gravitationnelles, permettant la lévitation. Ces tourbillons électromagnétiques
sont harmonieusement répartis sur la surface du globe et provoquent des désordres magnétiques et énergétiques
avérés. Le triangle des Bermudes, du Dragon et du Démon où des disparitions
mystérieuses ont eu lieu sont des points diamagnétiques reconnu. D’autres
cultures que les égyptiens, ont judicieusement bâties des pyramides sur des
points diamagnétiques. Des pays y ont stratégiquement placé des bases
militaires. Avec une technologie adéquate, l’énergie de la Terre peut être
utilisée sur ces points afin de neutraliser l’effet de la gravité sur n’importe
quel objet qui se trouve dans son champ d’action. Des expériences de changement
dimensionnels comme l’expérience de Philadelphie, dirigée par Nicolas Tesla en 1943
ont aussi été réalisées sur ces points. A l’endroit de ces tourbillons
apparaissent également des portes dimensionnelles qui s’ouvrent et se ferment
les jours d’équinoxe. Pour les égyptiens, les jours d’équinoxe correspondait à
la porte de Maât, la déesse de l’équilibre et de justice. Ces jours-là avaient
lieu sur le plateau Rostau des cérémonies particulières auxquels participaient
élèves des Ecoles des Mystères. Ils se servaient du tourbillon pour terminer la
formation des prêtres qui avaient atteint après des années le 5ème
ou 6ème niveau de conscience. Ils étaient alors transportés par une
force externe jusqu’aux plus hautes dimensions. Les prêtres de l’Œil d’Horus ont
utilisé leur savoir ancestral pour construire à un point précis du réseau
magnétique de la planète une grande pyramide qui leur permettait d’exploiter
une source inépuisable d’énergie à des fins spirituelles. Ils recevaient dans
leur corps les énergies condensées de la planète grâce auxquels ils pouvaient
atteindre des très hauts niveaux de vibration qui provoquaient chez eux des
états particuliers de conscience. La Grande Pyramide était appelée l’Arche de
Ra-Harmakhu et elle a été construite sur un tourbillon électromagnétique qu’ils
pouvaient utiliser les jours d’équinoxes quand les domaines de la lumière et de
l’obscurité étaient équilibrés par Maât. Ces jours-là naissaient les Nether,
les esprits exceptionnel, les Shemsu-Hor, disciples d’Horus qui rayonnaient
d’amour et guidaient leur peuple en élevant son niveau de conscience par leur
exemple et par leur connaissance de la réalité de l’univers.
Jean-Christian Balmat
[1] Le
Pléistocène (du grec ancien pleistos, nombreux, et kainos, récent) est la plus
ancienne époque géologique du Quaternaire et l'avant-dernière sur l'échelle des
temps géologiques (tant que la proposition de création de l'Anthropocène n'est
pas retenue). Elle s'étend sur environ 2,6 millions d'années à 12 000 ans avant
le présent. Source : Wikipédia
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