L’immense
différence entre ce que je savais de mon éducation et ce que j’ai appris auprès
de mon maître est qu'il définissait et comprenait le corps non comme un objet
de chair mais comme l'ensemble de sept corps. Cette connaissance est Alpha et
l’Omega de mon travail de recherche, ce sur quoi je vais réfléchir. Peu importe
les chemins que je choisirai d’emprunter pour l'atteindre, le sommet sera cette
notion.
Avant même que je ne
débute ma formation interne, elle m’a attrapé tel un poisson qui mord à
l’hameçon. Je suis fasciné par l’immensité de la connaissance que cette notion
laisse entrevoir depuis le premier moment où j’en ai entendu parler.
Alors que
l’occident analyse l’affect, la psyché et le corps séparément, l’orient
m’apporte cette théorie qui regroupe sept aspects de l’être humain en un. Tout
en spécifiant mieux chaque composante, cette théorie me conduit à l’unité.
L’Homme Septénaire
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Deux
aspects de l’être humain
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Deux
composantes de l’être humain
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Deux
Mondes
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Sept Véhicules
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Sept Plans de Conscience
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Sept Chakras-Sept glandes
endocrines
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L’Homme-Spirituel
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Soi Divin
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Monde de l’Esprit :
Trois corps spirituels
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Divin
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Synthétique
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Coronal Épiphyse
(Pinéale)
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Spirituel (Vital)
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Intuitif
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Frontal
Hypophyse
(Pituitaire)
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Causal (Humain)
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Altruiste
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Cardiaque
Thymus
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L’Homme-Matériel
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Moi égoïste
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Monde de la Matière :
Quatre corps inférieurs
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Mental (Intellectuel)
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Mental
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Laryngé
Thyroïde-Para thyroïde
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Astral
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Egotiste
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Ombilical
Pancréas
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Ethérique
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Instinctif
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Sacré
Gonades
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Dense
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Analytique
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Basal
Surrénales
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Tableau 1 de l'auteur
1. Le
corps physique est le véhicule par lequel l’Humain s’exprime dans le plan
physique. C’est au travers de ses propriétés que l’être humain communique et
réalise toutes ses actions dans le plan physique. Ce corps de chair est animé
par le suivant.
2. Le
corps éthérique aussi appelé « corps vital » qui est constitué de ce
que l’on appelle l’énergie vitale. Il vitalise le corps de chair. Une énergie
de bonne qualité entretient la matière, une énergie péjorée ne peut empêcher la
maladie de s’installer et une absence d’énergie représente la mort de la
matière. La qualité de l’énergie dépend d’une part des aliments terrestres
(solides, liquides, gazeux) et d’autre part des aliments célestes (pensées et
émotions). Lorsque le corps éthérique n’arrive plus à vitaliser le corps
physique, l’être humain a de plus en plus de mal à rester conscient, il
s’endort. La période de sommeil permet au corps éthérique de régénérer le corps
physique.
3. Le
corps astral, aussi appelé « corps de désir », est le siège du désir,
des pulsions-répulsions. Le désir est la force qui permet à l’être humain de
bouger, créer, inventer…en résumé l’envie de vivre[1]
provient de ce corps. L’attirance ou la répulsion que l’être humain éprouve à
l’encontre d’un être vivant ou d’un objet a son origine dans ce corps. Le désir
est source de bien (plaisir) ou de mal (douleur) selon l’usage qu’en fait le
corps mental.
4. Le
corps mental, aussi appelé intellect, est le siège du mental, de la pensée et
de la conscience égoïste. Très simplement résumé, on peut dire que ce corps se
polarise en deux aspects : le premier est très rationnel et génère une
pensée visant à assouvir les besoins inférieurs et les passions, les désirs de
nature inférieure. Le second est intuitif et influencé par l’aspect spirituel
de l’homme. Selon que l’être humain s’identifie à sa personnalité (son Moi) ou
plutôt son esprit (son Soi Divin), il valorise plus ou moins un des aspects de
son corps mental. Ce corps occupe une place charnière entre la personnalité de l’Humain
d’une part et son Esprit d’autre part. Comme les pensées elles-mêmes, le sujet
de la pensée, l’objet physique concret est impermanent.
5. Alors
que le corps mental recueille et élabore, le corps causal, aussi appelé
« Ego[2] »,
ordonne et discerne. Alors que le corps mental repose sur des images mentales
construites par les cinq sens et qu’il raisonne autour d’objets concrets en les
différenciant, en comparant leur effet, le corps causal perçoit la cause,
l’archétype[3] des
objets et manie la pensée abstraite. À l’inverse, de l’objet concret,
l’archétype est un modèle en évolution mais qui est permanent.
6. Le
corps spirituel représente le pont entre l’Ego, siège de la conscience
individuelle, et l’Âme ou Soi Divin ayant pour véhicule le corps divin. Le
corps spirituel est le siège de l’intuition qui est une connexion directe avec
l’Âme ou la compréhension des Lois Universelles.
7. Le
corps divin est de pure essence divine, il en est une émanation en tout point
semblable.
Ces sept corps subtils sont interconnectés en permanence.
Cependant, selon son évolution intérieure, l’être humain n’en perçoit qu’une
partie. Le travail d’apprentissage commence d’en bas, du plan physique, bien
que l’Humain provienne d’en haut, de l’Esprit. L’être humain a besoin de
nombreuses années pour développer un corps adulte, plus encore pour maitriser
son énergie, ses émotions et ses pensées. Bien que ces corps existent en l’être
humain, leur développement reste au stade de potentiel latent sans travail
conscient. La conscience de l’Humain devient alors l’architecte de sa propre
évolution.[i]
[1] Cette
envie de vivre est bien entendu la notion de pulsion de vie qui permute en
pulsion de mort en cas d’événement traumatique.
[2] Dans
ce contexte « Ego » signifie conscience individuel et ne correspond
pas directement à l’ « ego », qui correspond au « moi je ».
[3] Un archétype
(du grec arkhetupon, « modèle primitif », par l'intermédiaire du latin
archetypum) est, en littérature et en philosophie, un modèle général
représentatif d'un sujet. Employé en psychanalyse, la notion d'archétypes
recouvre une signification propre définie par Carl Gustav Jung : des préformes
vides qui organisent la vie instinctive et spirituelle, structurent les images
mentales (pensées, fantasmes, rêves…). On peut aussi définir un archétype comme
un point de vue analogique sur une réalité sensible, susceptible d'intégrer la
totalité des points de vue qu'on peut en avoir. Les archétypes apparaissent
dans les mythes, mais aussi dans les rêves ; ils y forment des catégories
symboliques structurant les cultures et mentalités, et orientant le sujet vers son
évolution intérieure, nommée individuation dans la psychologie de Jung. Pour ce
dernier, les archétypes sont caractérisés fondamentalement par le fait qu'ils
unissent un symbole avec une émotion, ce faisant, ils sont des « potentiels
d'énergie psychique » constitutifs de toute activité humaine et orientant la
libido. Les archétypes sont ainsi, dans l’espace mental, des dépôts permanents
d’expériences continuellement répétées au cours des générations. Note extraite
de Wikipédia
[i]
Article extrait du livre « Rissoi l’Ermite, Celui qui découvrit le chemin
vers le Monde Intérieur » de JC Balmat en cours de publication.