mercredi 29 février 2012

Sagesse du Milieu: L’absence de hasard (article 1)



Chaque cause a un effet.
·         La Vie en soi est continue et éternelle, la Loi de la Causalité, ou Karma en sanskrit, implique qu'une manifestation de la vie se déroule, avec un début, la cause, et une fin, l'effet.
·         Les manifestations de l'homme, dans tous les plans de son existence (voir « les Sept Plans de Conscience ») génèrent, en fin de processus, une rétribution, un juste prix, une récolte, relatif au semis, que ce soit au niveau physique, énergétique, psychique, affectif ou spirituel.

C’est pourquoi ce que l'Homme vit ici et maintenant est juste et bon, puisque il est la conséquence de ses actes passés. Étant donné qu'il ne vit pas seul sur terre, il interagit aussi avec ses congénères, sur lesquels il aperçoit les conséquences de ses actes et réciproquement.
On peut donc considérer qu'il existe plusieurs types Karma :
·         personnel
·         familial
·         collectif
·         de l'humanité

La qualité de la rétribution sera identique à celle de la cause, et de même pour la quantité. La nature qualitative, la force et la durée de l’effet est symétrique et proportionnellement à ceux de la cause.
Mais comme en général, le câlin est plus agréable à recevoir que la gifle ; l'homme a tendance à apprécier la loi karmique quand elle lui est favorable et au contraire, à parler de hasard lorsque cela lui est pénible à supporter.
Cette loi est l'une des choses qui, dans notre univers, n'est pas prête de changer. Autant l'admettre et ainsi travailler à la comprendre : en tenir compte et aller dans le sens de la complète acceptation de cette démarche : Le but est de comprendre le sens de la vie au-delà des illusions. Comprendre c’est accepter que si le « sort s’acharne sur nous », nous pourrions bien mériter cela maintenant de façon à payer une dette anciennement dont nous avons même oublié jusqu’à l’existence.
Alors l'homme comprend que le hasard n'est pas réel, mais juste fruit de l'illusion qui nous fait voir la Vie exempte de toute logique : notre ignorance nourrit nos illusions et notre connaissance développe notre goût de la vérité.
Prenons l'exemple du travail colossal du monde scientifique. Depuis l'avènement de l'ère des Lumières en occident, ces derniers dans tous les domaines ont levé le voile des illusions. Elles expliquent rationnellement le monde, dont le fonctionnement est de plus en plus expliqué par les sciences exactes. Ces sciences posent des lois immuables. Les exemples sont multiples :
·         Newton et sa pomme
·         Darwin et sa théorie de l'évolution
·         Edison et son ampoule
·         Einstein et le fascinant E=MC2
·         Et tous les autres que je ne nomme pas et qui méritent tout notre respect.

Aussi imparfaites que furent certaines inventions ou théories, elles ont changé notre vie. Mon arrière-grand-mère saluait à haute voix la speakerine de la TV, persuadée que cette dernière « était dans le poste », tandis que mes enfants vivent à l'aise avec le monde virtuel de leur ordinateur. Nous avons percé des secrets de la matière et repoussé les limites de notre compréhension grâce à des scientifiques qui ont certaines fois passé pour des fous ou carrément de vie à trépas lorsqu'ils révélèrent leurs découvertes. Ils ont, dans la matière, levé le voile des illusions, comme les Grands Maîtres ont levé le voile sur des parties de la Vérité Universelle. Comme disait Hermès[1] « tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ». Le plan Spirituel est « symétrique » au plan Matériel, le premier générant le second qui, quant à lui, le manifeste.
L'Homme qui cherche trouve rapidement dans l'observation des cycles en lui, identiques à ceux qu'il observe dans la nature et dans le ciel des similitudes et des explications à ce qui fut inconnu. Parti de là, le chercheur découvre, s'il y met de la patience et du courage, la Loi de la Causalité. Toute observation l'y conduit. Dès lors, commence le travail de fond. Relier les effets et les causes et en tirer toute l’expérience. Comme s’il mangeait puis digérait le fruit.
La métaphore du fruit n'est pas là pour rien. Comme l'arbre, après sa croissance printanière, il s'allie avec un congénère de sexe opposé, pour perpétuer l'espèce avant son retour en terre, s'amorçant en automne par la descente de la sève des feuilles en direction des racines. Le fruit de l'arbre contient la graine, qui, petite, contient toute l'expérience de son espèce depuis ses débuts sur terre et œuvre à la perpétuer. Et ce fruit est bien l'enfant de ses parents que l'on peut (re)connaître à travers lui. Comme la pomme a les gènes de deux pommiers parents, notre âme a en elle les gènes du Féminin et du Masculin Sacré (le Tao) ; qui émanent tous deux de Dieu (le Taï Yi), du Principe Unique.
Le Fruit que notre âme absorbe contient l'expérience de vie. Celle-ci, lorsqu'elle est assimilée, intégrée, n'a plus à être vécue à nouveau. C’est le principe même de l’évolution adaptative, qui, au niveau du plan des corps physiques s’appelle l’évolution des espèces.
Et là réside le bénéfice majeur de ce travail pour devenir l'acteur actif de sa vie. Cela ne pourra se faire efficacement qu'à la condition de se placer dans la peau de l'observateur. Nos expériences de vie sont comme un film, une pièce de théâtre que nous jouons tous ensemble, dont le titre est « Création ». Les Hommes font partie des acteurs, au même titre que les trois niveaux de vie « inférieurs », les règnes animal, végétal et minéral.
Lorsque j’ai commencé à vraiment travailler sur la notion de Karma, j’avoue que je trouvais cette loi logique…pour les autres et excessivement injuste avec ma petite personne. Il m’a fallu du temps pour accepter que je récoltais maintenant ce que j’avais semé avant et que je semais aujourd’hui ma future récolte.
Mon ego en prend plein la figure. Car non ce n’est pas la faute des autres, jamais cela n’a été le cas en fait. Je comprends que si je m’en donne la peine tout effet se justifie par une cause. Même si pour l’instant je ne connais pas la cause clairement, j’accepte de tolérer ce que je trouvais il y a peu injuste comme par exemple la famille dans laquelle je me suis incarné. Car je fus de ceux qui aimaient les siens tout en trouvant que la situation familiale parfois dure à supporter.
Je comprends que pour ne pas subir, il me faut agir : je tente depuis quelque temps de me comporter comme le meunier qui trie la récolte qu’il reçoit. Lorsque je décèle de l’ivraie, je fais tout pour en déterminer l’origine puis change mon semis.
Je me rends compte que le « Bon Dieu » et le « Dieu courroucé » sont des notions qui me parlent de mes composantes intérieures qui récompensent ou punissent selon que je respecte la Loi (que je suis souvent inconsciemment). Je tente de plus en plus de siéger à la tête de mon monde et de prendre de décisions qui me permettent de semer dans cette terre un semis dont j’ai consciemment déterminé la qualité.
J’ai pris également conscience qu’accepter dans la pratique la Loi de Rétribution c’est accepter tout ce qui m’arrive dans tout ce que cela peut comporter en bien et en mal. Non seulement que ce qui nous arrive personnellement actuellement est la conséquence d’une cause, mais également que ce que récolte ma famille, ma nation et l’humanité est juste et bon.


                                                                                     Jean-Christian Balmat


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[1]             Hermès Trismégiste des Grecs, le Thot des Égyptiens, le Trois Fois Grand, Celui qui réunit le Un et le Deux. L'auteur, entre autres, des 12 axiomes de la Table d´Émeraude.

dimanche 19 février 2012

Sagesse du Milieu: La Voie Intérieure de l’Âme[1]



La plupart d’entre nous hésitent et doutent lorsqu’un choix se présente.
Une des solutions est de recentrer son Attention sur l’Âme. Pour autant qu’on y croie, l’Âme est particule divine issue du Dieu Source de Tout ce qui Est. Et ne dit-on pas « revenir à la source » dans le langage courant, parce que la source est pure, non altérée par les transmissions de « mauvaise qualité » ?
Tant qu’à chercher la Vérité, autant aller à la Source, non ? Mais comme le dit la légende ci-dessous, nous avons tous tendance à chercher à l’extérieur alors que notre Divinité Intérieure est tout au fond de nous.
D’en parler est facile, même d’acquiescer ! Par contre, le mettre en pratique implique qu’on sache admettre l’existence d’un Temple intérieur. Temple que l’on découvre, nettoie puis enfin active. Là se dressent de nouveaux écueils :
·         Auto-apitoiement qui nous conduit certaines fois à nous voir comme des âmes abandonnées à leur triste sort dans l’Univers froid et sombre.
·         Admettre sa Divinité Intérieure oblige à assumer ce rôle dans notre zone d’influence. D’ignorant, nous devenons initiés, petit mais initié tout de même. Ce n’est plus « de la faute de l’autre » mais de notre responsabilité d’assumer notre destin ou karma tel que nous en avons écrit le script dans nos précédentes incarnations.
·         « Le complexe du pauvre pêcheur » face à la Divinité que l’on nous a décrite dans le passé comme potentiellement vengeresse.

Expérimenter « la voie de l’âme », c’est apprendre à écouter l’aspect de nous qui sait, puis tenter de donner à notre âme le rôle qui lui revient. Abandonner les plaisirs égotiques, quoiqu’on en dise, n’est pas une démarche anodine car cela nécessite de neutraliser dans la paix les besoins de la personnalité et ceux de notre aspect de mammifère, supérieur soit, mais de mammifère tout de même. Le faire dans la patience, dans l'amour et non la violence, prend souvent beaucoup de temps.
Une vieille légende hindoue raconte qu'il fut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Comme ils abusèrent de ce pouvoir, Brahmâ, le maître des dieux, décida de le leur retirer et de le cacher dans un endroit où il serait impossible de le retrouver.
Oui mais où ?
Brahmâ convoqua en conseil les dieux mineurs pour résoudre ce problème.
·         Enterrons la divinité de l'homme, proposèrent-ils.
Mais Brahmâ répondit:
·         Cela ne suffit pas, car l'homme creusera et trouvera.
Les dieux répliquèrent :
·         Dans ce cas, cachons-la tout au fond des océans.
Mais Brahmâ répondit :
·         Non, car tôt ou tard l'homme explorera les profondeurs de l'océan. Il finira par la trouver et la remontera à la surface.
Alors les dieux dirent :
·         Nous ne savons pas où la cacher, car il ne semble pas exister sur Terre ou sous la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour.
Mais Brahmâ répondit :
·         Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher.

Et depuis ce temps-là, conclut la légende, l'homme explore, escalade, plonge et creuse, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui »



                                                                                     Jean-Christian Balmat


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[1] Extrait du livre « Rissoi l’Ermite, celui qui découvrit le chemin vers le monde intérieur » en cours de publication.

Sagesse du Milieu: Je vois en l'Autre que ce que Je refuse d’être[1]



Un fait très intéressant pour apprendre à se connaître... à travers l'Autre ! Cela peut paraître évident, mais je ne vois, sens, entends de l'autre que ce que je connais de moi-même. Et ce souvent inconsciemment... quand ça concerne mes défauts...
N'oublions pas que nous sommes tous « porte-drapeau » d'une idée, d'un symbole, d'un parti, d'un clan, etc. Il n'y a donc rien de ¨personnel¨ dans nos rencontres, mais une amplitude qui va du mariage parfait à la destruction plus ou moins grande des idées des deux protagonistes.
L'exemple de la langue est... parlant. Je ne peux entrer en contact verbalement avec l'Autre qu'à condition de maîtriser antérieurement à notre rencontre la langue de mon interlocuteur.
Il est donc instructif d'observer ce que nous voyons en l'Autre pour apprendre un peu plus chaque jour de nous-mêmes.
·         Ce que nous recherchons en l'Autre, nous pouvons le trouver en nous.
·         Ce que nous envions en l'Autre, nous pouvons le développer en nous.
·         Ce que nous détestons en l'autre, nous avons le pouvoir de commencer à le tolérer pour parvenir à l'aimer plus tard.
·         Si je rejette totalement l'Autre, c'est sûrement que la qualité humaine dont il est porteur compose ma face noire.

Apprendre à aimer notre rencontre est plus facile depuis notre siège d'observateur. Même quand notre échange ressemble à un film de série Z, nous pouvons élever le débat et remporter l'oscar.
Allez à la rencontre de l’Autre à l’extérieur, c’est découvrir son Inconscient. L’Autre et son propre Inconscient sont identiques. Je vous conseille l’exercice suivant afin de déterminer « ce qui se trouve » dans votre inconscient. Prenez une feuille blanche et tracer une ligne au milieu de haut en bas. Ecrivez dans la colonne de gauche tous les qualificatifs que vous trouvez pour vous décrire. Dans la colonne de droite, écrivez les antonymes de ceux-ci (se faisant vous venez de faire un descriptif de votre inconscient qui est l’envers de votre conscient). Vous verrez que les déterminatifs de la colonne de droite ressemble à certaines personnes que vous rencontrez souvent…



                                                                                     Jean-Christian Balmat


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[1] Extrait du livre « Rissoi l’Ermite, celui qui découvrit le chemin vers le monde intérieur » en cours de publication.

Sagesse du Milieu: L’autre, ce moi inversé ou le Principe du Miroir[1]



« Comment peux-tu dire à ton frère : Frère, laisse-moi ôter la paille qui est dans ton œil, toi qui ne vois pas la poutre qui est dans le tien ? Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors tu verras comment ôter la paille qui est dans l'œil de ton frère ».
Luc 6:42

Nous avons vu que le vrai travail sur soi est évidemment intérieur. Nous avons découvert aussi que Karma amène l'individu à payer ses dettes ainsi qu'à mener à bien des expériences lui permettant d´évoluer en acquérant le fruit de celles-ci. Et que pour ce faire l'Autre nous aide à jouer notre rôle. Il me permet de matérialiser une relation précise.

C'est le Principe du Miroir. L'autre, dans son jeu, sa vie, est lié fortement à moi tant que la rétribution doit durer. Parce que, je vous le rappelle, « ce que je vis ici et maintenant est juste et bon ».

De l'autre, je peux donc apprendre pour mieux grandir. Le regarder avec le détachement de l'observateur m'apportera un enseignement qui me fera gagner du temps dans le processus d'acquisition du Principe Éternel[2] sous-jacent à ce que je vis maintenant.

L'erreur est de croire que l'Autre est extérieur à nous-mêmes pour toujours. Non, celui-ci est le partenaire qui répond lorsque l'on parle, qui nous crie dessus lorsque l'on crie ou au contraire qui pleure selon ce que nous avons tous deux à expérimenter.




En sachant cela, la parole du Christ nous invitant à aimer l'Autre comme nous-mêmes prend toute sa dimension. Lui accorder autant d'attention, d'amour et d'écoute nous permet de pleinement vivre l'expérience que nous vivons dans l'instant.

Le nier correspond à rejeter l'expérience qui se déroule devant nous et à être comme un acteur refusant de jouer dans le film pour lequel il a auditionné !

Bien sûr que notre Ego en prend un coup. Il n'est pas dans son rôle d'accepter Karma, mais au contraire de tout faire afin de nous faire croire que la réalité est ici-bas. C'est seulement dans le monde matériel qu'il est puissant. Par contre, passé le seuil[3] l'ego meurt irrémédiablement et, le bougre, il le sait !
Au-delà de cela, suivre sa Voie en considérant l'autre comme le maître qui m'initie à quelque chose de nouveau fait avancer le travail d´évolution.

Pour mieux comprendre ce principe, pas facile au début, tentez de comprendre avec détachement, de votre confortable siège d'observateur, le rôle de chacun. En général, les deux protagonistes se font face dans la scène en question. Dans ce cas ils sont comme deux objets identiques mais inversés avec un axe de symétrie au milieu. Il arrive aussi que l'Autre soit votre jumeau. Son attitude ressemblera tellement à la vôtre qu'en général vous serez tentés de lui reprocher ses défauts alors qu'en fait vous vous parlez à vous-même.

La clef du Principe du Miroir réside dans l'action juste qui consiste à aimer l'autre, et même notre ennemi, comme nous-mêmes.

Aimer l'autre n'est qu'une des facettes de la pleine et entière acceptation de la Vie. Accepter ce que la Vie nous offre n'est pas facile. Elle nous met à genoux, nous fait courber l'échine ou nous met carrément KO ! Mais accepter c'est se marier, s'accorder aux forces que l'on subit! Les marier en s'y accordant pour apprendre « le corps étranger » afin de grandir sur le chemin de l'évolution. Si on le fait en étant accordé sur les Sept Notes Divines, de la Vie, jamais nous ne risquerons de jouer faux. Si nous doutons du son nous jouerons de manière dissonante, fausse.

Jouer juste nous fait avancer, jouer faux reculer, ne pas jouer stagner. Jouer c'est ÊTRE ce que nous décidons de devenir, pleinement, en se servant de notre corps comme d'un Stradivarius. Les êtres sont des sons et ceux que nous entendons au quotidien sont ceux-là même dont nous avons choisi l'expérimentation par la Loi de la Causalité et la Loi d'attraction[4].

Soyez patients, travaillez sans perdre votre autodérision. L'humour ne blesse que l'ego qui lui n'est pas un rigolo, mais ça vous le savez.



                                                                                     Jean-Christian Balmat


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[1] Extrait du livre « Rissoi l’Ermite, celui qui découvrit le chemin vers le monde intérieur » en cours de publication.
[2]             Voir le chapitre ¨ Principes Éternels¨
[3]             Voir le chapitre ¨La Clef du Seuil¨
[4]             Pour la définition scientifique : Deux corps ponctuels de masse MA et MB s'attirent avec une force proportionnelle à chacune des masses, et inversement proportionnelle au carré de la distance qui les sépare. Cette force a pour direction la droite passant par le centre de gravité de ces deux corps. Extrait de : http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_universelle_de_la_gravitation Pour la définition adaptée à notre travail : force magnétique de l'être humain qui attire ou repousse, selon qu'il aime, à savoir harmonique avec l'autre ou qu'il hait, à savoir disharmonique avec l'autre.